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Mis à jour: 26 juin 2025


Vous ferez venir chez vous les négocians toscans et impériaux qui ont plus de vingt mille aunes de drap de toute les couleurs

Tandis que les monnaies variaient continuellement en France, elles changeaient peu en Angleterre. Le roi de France avait échoué dans l'entreprise d'établir l'uniformité des mesures. C'est un des principaux articles de la charte que le roi d'Angleterre accorda aux étrangers. Dans cette charte, le roi déclare qu'il a grande sollicitude des marchands qui visitent ou habitent l'Angleterre, Allemands, Français, Espagnols, Portugais, Navarrais, Lombards, Toscans, Provençaux, Catalans, Gascons, Toulousains, Cahorcins, Flamands, Brabançons, et autres. Il leur assure protection, bonne et prompte justice, bon poids, bonne mesure. Les juges qui feront tort

S'il y a doute et partage sur l'état de l'auteur du Pecorone, il n'y en a point sur son mérite. Les philologues toscans le placent fort peu au dessous de Boccace, quant

Adam de Michaelibus, 1472, in-fol. Cependant l'autorité restait muette: vingt-cinq ou vingt-six papes se succédèrent depuis la première publication de ce livre, sans qu'aucun d'eux en défendit l'impression ni la lecture; mais d'éditions en éditions, il n'était presque plus reconnaissable. Malgré les soins de quelques éditeurs plus éclairés ou plus soigneux , la corruption du texte paraissait sans remède: les Juntes , les Aldes eux-mêmes firent mieux, mais ne firent point encore assez bien. Quelques jeunes lettrés toscans, honteux de laisser en cet état l'ouvrage en prose qui honorait le plus leur langue, se réunirent, rassemblèrent les éditions les moins incorrectes, recherchèrent les meilleurs manuscrits, et produisirent, avec le plus grand succès, la fameuse édition donnée par les héritiers des Juntes, en 1527. Mais pendant le reste de ce siècle, tous les éditeurs ne la prirent pas pour modèle: il y en eut même de fort savants qui prétendirent corriger le texte

Il les écrivit pour son amusement, lorsqu'il était podestat ou premier magistrat d'une petite ville, que l'on croit être Bibbiena. Elles étaient au nombre de trois cents. On n'en a retrouvé et publié que deux cent cinquante-huit. Sacchetti ne les a point encadrées, comme Boccace, dans une fiction générale, ni entremêlé d'entretiens, de descriptions et de vers. C'est lui qui raconte, en son nom, des faits dont souvent il a été témoin lui-même. Le style en est extrêmement pur, et fait autorité dans la langue. Il est plus familier et descend plus habituellement au langage commun que celui du Décaméron; et c'est surtout dans les sujets gais et populaires qu'il peut être utile de l'étudier. On y acquiert l'intelligence d'un grand nombre de mots et de proverbes toscans, qui y sont employés dans leur vrai sens et dans toute leur force. Quand aux aventures, aux bons mots et aux faits plaisants, il y en a moins de libres et d'indécents que dans Boccace, mais trop encore pour que ce recueil puisse être mis entre les mains de tout le monde. La plupart de ces traits servent

Nos Parisiens sont arrivés ce matin; et nos Toscans le soir, après un voyage de quinze jours. Ils ont eu toutes les peines du monde

Aucun gouvernement représentatif ou républicain en Europe ne jouissait d'autant de liberté que les Toscans. Ce gouvernement n'était ni autrichien ni français, il était toscan, il s'était naturalisé italien. Deux princesses saxonnes, deux soeurs, l'une duchesse douairière, l'autre grande-duchesse régnante, rappelaient par leurs grâces et par leur amour des lettres ces princesses italiennes de la maison d'Este

C'étaient, en grande partie, des soldats et des officiers piémontais, lombards, toscans et florentins, ainsi que quelques Vénitiens, mais en petite quantité. Tous, généralement, étaient assez bien équipés et armés.

Le général Menou avait été nommé comte de l'empire, ce dont il ne se souciait guère, et grand-aigle de la Légion-d'Honneur, pour le dédommager de la perte de son gouvernement. L'empereur avait décidé en outre que, quelles que fussent ses fonctions, M. de Menou jouirait, sa vie durant, d'un traitement de trois cent mille francs; mais il ne voulut jamais lui permettre de revenir en France. Ayant résolu de former un gouvernement général des pays Toscans, l'empereur le nomma président de la junte d'organisation. Cette petite explication était nécessaire pour que César Berthier ne nous tombât pas des nues. Après le départ de M. de Menou, il fut appelé

J'ai vu les armées s'ébranler, les bataillons se déployer, se heurter et fuir en déroute: j'ai vu aux champs d'Arezzo les escadrons légers se précipiter dans les plaines: j'ai entendu le choc des tournois et des joûtes guerrières, et les tambours et les trompettes, l'airain des temples et les signaux des villes, se mêler aux clairons toscans et aux instruments barbares: mais ni le bruit des batailles, ni le cri d'un navire

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