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Mis à jour: 5 juin 2025
A mon tour, je te demande de m'envoyer ton fils par la première diligence!» La cousine Françoise terminait ainsi sa lettre: «La mort m'a enlevé, il y a deux ans, mon fils unique. Eh bien! le tien prendra la place du défunt dans ma maison et dans mon coeur... Qu'il vienne, je l'attends.»
Francine est morte... dit-il, il fallait nous y attendre. Dieu sait que nous avons fait tout ce que nous avons pu pour la sauver. C'était une honnête fille, Jacques, qui t'a beaucoup aimé, plus et autrement que tu ne l'aimais toi-même; car son amour n'était fait que d'amour, tandis que le tien renfermait un alliage. Francine est morte... mais tout n'est pas fini, il faut maintenant songer
Certes, Bivar m'est cher; c'est l'espoir, le soutien De Castille; et pourtant j'accorde ta requête, Il mourra si tu veux, ô Chimène, il est tien. Dispose, il est
M. Rodolphe! s'écria Rigolette étrangement surprise. Sans doute, dit la Goualeuse. M. Rodolphe!... Un commis voyageur? Je ne sais pas ce qu'il est... mais pourquoi cet étonnement? Parce que je connais aussi un M. Rodolphe. Ce n'est peut-être pas le même. Voyons, voyons le tien; comment est-il? Jeune!... C'est ça. Une figure pleine de noblesse et de bonté.
Quand tu auras prêté au tien une autre chambre. Laquelle donc? Marguerite regarda son amie, qui, après un moment de silence, la regarda aussi et se mit
Et ce cri vers Dieu: Tout affamé d'amour, de justice et de bien, Je m'étonne parfois qu'un idéal se lève Plus grand dans ma pensée et plus pur que le tien! Oh! pourquoi m'as-tu fait le juge de ton rêve?
Un jour ou l'autre, on le voit reparaître, dit la comtesse en souriant. Où et quand as-tu revu le tien? Tout
Ce langage ne m'étonnait pas. J'avais perdu la notion du tien et du mien qui sépare la richesse de la pauvreté. Cette eau, ces bois, ces prés, continuait-il, tout cela est
Arrache ce poignard de mon cœur, et dis, en le plongeant dans le tien: «Dois-je vivre éternellement malheureux?» Dernière douleur, forte, courte et généreuse... Qui sait si le destin ne te prépare pas une mort plus douloureuse et plus infâme!
Tu comprends bien, n'est-ce pas, mon cher enfant, dit Byasson, quelle est ma situation? Je suis le plus vieil ami de ton père et de ta mère, le plus intime; je suis le tien; je t'aime comme si tu étais mon fils, moi qui n'ai pas d'enfants et qui n'en aurai jamais d'autres que ceux dont tu me feras un jour le parrain. Tu dois trouver tout naturel et légitime que je me jette entre tes parents et toi au moment où vous allez vous séparer. Et que produira cette séparation? votre malheur, votre désespoir
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