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D'un geste de souffrance, Mme Caroline le fit taire. Il lui semblait que cet excès d'abaissement l'éclaboussait elle-même. Très caressante, Marcelle lui avait pris la main, sur le point de partir. «Ne croyez pas au moins, chère madame, que nous soyons venus pour vous ennuyer. Paul, au contraire, défend beaucoup M. Saccard. Mais certainement! s'écria le jeune homme.

Telle est la puissance de cette idée qu'elle peut jeter ceux qu'elle possède dans l'injustice et l'imprudence extrêmes, et faire taire en eux non-seulement la voix de l'intérêt personnel, des affections de famille, du sens commun, du péril évident et vain, mais la voix même de la patrie et des devoirs qu'elle impose

Non pas, précisément. Il peut se rassurer, je pars dès aujourd'hui. J'espère, monsieur, que vous ne nous refuserez pas une grace pour prix de l'hospitalité que nous vous ayons accordée. Quelle est-elle? C'est de ne pas dire, lorsque vous serez de retour dans votre pays, que vous nous ayez connus, ou tout au moins de vous taire sur la position géographique de notre asile.

Mais le lieutenant Rochas les fit taire. Ce n'était pas une honte, de ne toujours songer qu'

Il ne fallait pas se taire et douter de notre amour...

Mais lui, se montra brutal, pour la faire taire. Il lui secoua la main,

Don Carlos Pour l'amour de vous, Monsieur, je n'en dirai rien du tout, et c'est bien la moindre chose que je vous doive, après m'avoir sauvé la vie, que de me taire devant vous d'une personne que vous connaissez, lorsque je ne puis en parler sans en dire du mal ; mais quelque ami que vous lui soyez, j'ose espérer que vous n'approuverez pas son action, et ne trouverez pas étrange que nous cherchions d'en prendre la vengeance.

Mais, d'un geste terrifié, Jean le fit taire, comme s'il avait craint qu'un tel blasphème ne leur portât malheur.

=La musique et les cris qui n'ont pas cessé redoublent sur la place, malgré les gestes de Trivulce, Capréola et autres qui se précipitent de nouveau sur le balcon pour les faire taire.=

Tais-toi! tais-toi! rugit le Renard-Noir lui saisissant le bras avec violence, et le serrant dans ses doigts durs comme l'acier. Me taire! non, Molodun; non, je ne me tairai pas! Il faut que je vante ton amour pour moi, la reconnaissance m'étouffe! A ce moment le cri du hibou se fit entendre. Le Renard-Noir lâcha la jeune fille. Un deuxième cri troubla le calme de la nuit.