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Con queste soie e berte profumate, Entrano i socij, con sua Signoria, Dov'eran le vivande apparecchiate, Come a gran gentil'huom si convenia; Et havendosi ogn'un le man lavate, A cena se n'entrò la compagnia, Et in capo di tavola s'assetta La puttana Illustrissima Zaffetta. Silentio a mensa, quando l'odor vola De gl'arrosti per tutto; ella si tace.
Un chœur d'un mouvement doux, d'une mélodie simple et nonchalante: Voga, voga, il vento tace, ouvre la scène d'une manière fort convenable; puis commence le duo entre Valdeburgo et Isoletta. Dans les quatre premières mesures du chant: Giovine rosa, se décèle la cause de la teinte particulière des mélodies de Bellini. Cette cause, qu'il est facile de retrouver, non seulement dans tous ses opéras, mais même dans la plupart de ses phrases, est la prédominance de la troisième note du mode majeur. Par son voisinage de la quatrième, qui n'est que d'un demi-ton au-dessus d'elle, cette note prend par intervalles l'aspect d'une sensible, et donne aux chants une expression fort tendre, plus souvent encore triste et désolée. Quand elle domine dans une mélodie que l'auteur a voulu rendre éclatante ou énergique, presque toujours alors elle répand sur la phrase une physionomie plus ou moins vulgaire; nous en voyons un exemple dans le fameux duo
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