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Mis à jour: 29 juin 2025


Alors il l'ouvre, il en lit ces quelques lignes, tombées de la plume du maître qui a le mieux pénétré et le mieux aimé Mozart, l'illustre Gounod: «O Mozart! divin Mozart! qu'il faut peu te comprendre pour ne pas t'adorer! Toi, la vérité constante! Toi, la beauté parfaite! Toi, le charme inépuisable! Toi, toujours profond et toujours limpide! Toi, l'humanité complète et la simplicité de l'enfant!

Quelle que soit l'année, quel que soit le jour, quelle que soit l'heure j'aurai décidé de te faire parvenir cette lettre, tu l'auras reçue, accours, suis le messager que je t'enverrai..., accours auprès de ta femme innocente qui n'a jamais cessé d'être digne de toi et de t'adorer, près de ta fille, ta Loïse, que je veux remettre dans les bras de son père!... Jeanne de PIENNES,

J'en étais sûre, je n'attendais pas moins de toi. Il t'aimera parce qu'il le doit, il le doit; il est tenu de t'adorer! vociféra avec une véhémence particulière Barbara Pétrovna, du reste, même en écartant cette considération, il s'amourachera de toi, je le sais. Et puis, moi-même je serai l

«Ah! malheureuse, pensais-je alors, non, tu n'es pas ma beauté, mon âme. Tu n'es qu'une femme, faible, fausse, coquette et sensuelle. Je t'avais transformée en déesse, et j'avais fait de mon coeur un temple pour t'adorer. Arrière, idole! Ce que j'aimais en toi, c'est ce que je mettais de mon âme en ta forme vide et menteuse. Tu as voulu descendre de ton piédestal. C'est bien, adieu.

Jamais, fit ardemment Jacques. Jamais je n'ai cessé de t'aimer. Jamais je ne cesserai de t'adorer. Tu peux croire en moi, Laurence, en mon affection sans bornes. La jeune fille ne répondait pas. Elle restait soucieuse. Une ombre voilait la lumière de ses beaux yeux. Je voulais, dit-elle, je l'avais dit

Adieu, mon cher Usbek, adieu. Compte que je ne vis que pour t'adorer: mon âme est toute pleine de toi; et ton absence, bien loin de te faire oublier, animeroit mon amour s'il pouvoit devenir plus violent. Du sérail d'Ispahan, le 12 de la lune de Rebiab 1, 1711. A Ispahan.

Toute ma chevelure coupée, je l'ai tordue dans ma ceinture et je te l'offre, Kypris éternelle! Je ne cesserai pas de t'adorer. Ceci est le dernier vers de la pieuse Bilitis. 156 PREMIERE

Comment? tu lui sais mauvais gré de m'avoir aidé, et tu lui fais un crime de t'adorer! Lucile, c'est de la folie. Tu ne le connais pas. On t'aura dit du mal de lui. On le jalouse,

Esprit et Grâce, et Amour, et Beauté, En une constellation brillent; T'adorer est mon devoir, Déesse de cette âme qui est mienne! Jolie petite chose, fine petite chose, Adorable petite chose, si tu étais

Dieu de la liberté, du peuple et du courage. Les prêtres et les rois nous voilaient ton image; Nous voulons t'adorer loin des prêtres, des rois. Nous avons retrouvé tes traits dans la nature; Sa voix fidèle et pure A dicté nos devoirs, notre culte et nos lois!

Mot du Jour

insubmersible

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