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Mis à jour: 7 juillet 2025
J'ai toujours été élevée dans le château de Versailles, jusqu'au 6 octobre 1789, époque où je partis dans la voiture de Mesdames qui suivaient le cortège du malheureux Louis XVI qu'on entraînait
Quelquefois ils soulevaient le couvercle de leur fosse, et ils écoutaient si l'on se battait au loin; ils suivaient de l'oreille le combat. Le feu des républicains était régulier, le feu des royalistes était éparpillé; ceci les guidait. Si les feux de peloton cessaient subitement, c'était signe que les royalistes avaient le dessous; si les feux saccadés continuaient et s'enfonçaient
Les deux aventuriers s'entretenaient ainsi, quand, sur le chemin qu'ils suivaient, don Quichotte aperçut un épais nuage de poussière qui se dirigeait de leur côté. Dès qu'il le vit, il se tourna vers Sancho, et lui dit: «Voici le jour, ô Sancho, où l'on va voir enfin la haute destinée que me réserve la fortune; voici le jour, dis-je encore, où doit se montrer, autant qu'en nul autre, la valeur de mon bras; où je dois faire des prouesses qui demeureront écrites dans le livre de la Renommée pour l'admiration de tous les siècles
Pour la dernière fois, le matin, Jean et Maurice venaient d'entendre les sonneries si gaies des clairons Français; et ils marchaient maintenant, en route pour l'Allemagne, parmi le troupeau des prisonniers, que précédaient et suivaient des pelotons de soldats Prussiens, tandis que d'autres les surveillaient,
Cette masse d'hommes laissait, en marchant, toujours après elle, des morts et des mourants. Il me fallut attendre plus d'une heure, avant que cette colonne fût passée. Après, il y eut encore une longue traînée des plus misérables qui suivaient machinalement
Au bruit de la marche de Grignan et de ceux qui le suivaient, un homme se montra sur le seuil du petit temple, et ils reconnurent le comte de Morfontaine. Le marquis est l
Nos compagnons, ouvriers voyageurs, suivaient la vie de l'hirondelle, sauf qu'au retour souvent ils ne retrouvaient plus le nid. L'oiseau prudent les en avise dans un vieux dicton allemand, où la petite sagesse populaire veut les retenir au foyer.
Le général saluait, remerciait, souriait. Mme Dérigny et les enfants suivaient de près. Dérigny avait voulu retirer de la voiture les effets du général, mais une foule de mains s'étaient précipitées pour faire la besogne. Dérigny les laissa faire et rejoignit le groupe, autour duquel se bousculaient les femmes et les enfants de la maison, répétant
S'il n'y trouva pas la solution qu'il cherchait, ce qu'il aperçut fit battre son coeur d'émotion. Dans cette direction, il voyait le Danube, dont d'innombrables bateaux de toutes tailles sillonnaient les eaux jaunes. Les uns suivaient ou remontaient le courant, d'autres tendaient la corde de leur ancre ou l'amarre qui les retenait au quai.
Ensuite, je fis réflexion qu'il fallait décamper au plus vite, de sorte que je descendis de mon arbre. Lorsque j'eus fait environ deux cents pas, j'aperçus deux individus, un homme et une femme. Je reconnus qu'ils étaient Allemands; ils me paraissaient être sous l'impression de la peur. Je leur demandai s'ils voulaient venir avec moi, mais l'homme répondit, d'une voix tremblante, que non, et, me montrant le côté de la route, ne me dit qu'un seul mot: «Cosaques!» C'était un cantinier et sa femme, d'un régiment de la Confédération du Rhin, probablement de la garnison de Kowno, qui suivaient le mouvement de la retraite et qui ayant, comme moi, été surpris dans le bois par le hourra, s'étaient mis
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