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Mis à jour: 7 mai 2025
L'excuse de Stendhal, c'est que, bien réellement, il n'écrivait son journal que pour lui et non point, comme ont fait tant d'autres, avec une arrière-pensée de publication. Et si, quelque bonne volonté qu'on apporte
Valentine avait toujours entendu dire que Bénédict était laid. Dans les idées de la province, où, suivant la spirituelle définition de M. de Stendhal, un bel homme est toujours gros et rouge, Bénédict était le plus disgracié des jeunes gens. Valentine n'avait jamais regardé Bénédict avec attention; elle avait conservé le souvenir de l'impression qu'elle avait reçue en le voyant pour la première fois; cette impression n'était pas favorable. Depuis quelques instants seulement elle commençait
Quelques restrictions limitent, en effet, cette universalité. Les personnages de M. Zola, s'ils comptent un nombre considérable d'êtres bas, infimes, incomplets, malades ou rudimentaires, ne comprennent aucune des âmes supérieures et choisies, complexes, délicates et rares, que montrent les hauts romanciers. Ni les grands hommes et les nobles femmes de Balzac n'apparaissent dans les Rougon-Macquart, ni les fervents ambitieux de Stendhal, ni les fins artistes de Goncourt. M. Zola a constamment proposé
C'est tout. Pas la moindre réflexion édifiante. On dirait une note prise par Stendhal.
C'est cette imagination dans les personnages qui explique le prodigieux succès de Walter Scott et pourquoi Hugo, Dumas, Vigny, Balzac, Stendhal malgré ses réserves et tous, enfin, l'ont si passionnément aimé, si religieusement salué comme un modèle et comme un maître. Jusqu'
Toutes les anecdotes, plus ou moins déformées, qu'on apportera sur Stendhal ne changeront jamais ce qu'il a clairement écrit de sa main. Nous croyons volontiers
Bardé de trois volumes d'une poésie bleuâtre et frigide, en excellent acier des plus recommandables usines anglaises, au travers de laquelle il peut défier qu'on atteigne jamais son cœur; inventeur d'une psychologie polaire par l'heureuse addition de quelques procédés de Stendhal au dilettantisme critique de M. Renan; sublime déj
Il est toujours présomptueux de prendre Stendhal pour un sot. Cette présomption est cependant assez répandue chez les techniciens, ou du moins chez ceux qui se prétendent tels, pour fermer la bouche aux amateurs sur des sujets qu'ils croient être les seuls
A l'abri de cette autorité nous n'avons plus grand besoin de nous inscrire trop vivement en faux contre l'assertion de M. André Maurel qui, n'ayant pas fréquenté suffisamment Stendhal, lui prête presque toujours des opinions qui ne sont pas les siennes. Ce n'est pas la musique qu'aime Beyle, allègue-t-il entre autres choses, ce sont les femmes.
C'est de Fauriel aussi que Mérimée apprit une foule de détails qui caractérisent la poésie populaire. Nous nous en occuperons dans notre deuxième partie. L'INFLUENCE DE STENDHAL SUR M
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