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Mis à jour: 21 juin 2025
«Plusieurs de ces «gentilshommes» ont des relations intimes avec le palais de Stamboul, et on trouvera difficilement un fonctionnaire turc qui consentira
Plusieurs de mes visites d'adieu furent manquées, par suite de ce discours d'Achmet. Stamboul, 20 mars 1877. Une dernière promenade avec Samuel. Nos instants sont comptés. Le temps inexorable emporte ces dernières heures, après lesquelles nous nous séparerons pour jamais! des heures d'hiver, grises et froides, avec des rafales de mars.
Elle s’en va par le travers, comme une image que l’on emporte, et tout s’en va avec elle, les gens, ce grouillement de peuple, les maisons, la ville.... Ah! c’est le paquebot qui est parti!... Sans un bruit, sans une secousse, sans qu’on ait entendu tourner son hélice.... La pensée ailleurs, il n’y avait pas pris garde.... Le grand paquebot, entraîne par des remorqueurs, s’éloigne du quai sans qu'on le sente remuer; on dirait que c’est le quai qui fuit, qui se dérobe très vite, avec sa laideur, avec ses foules, tandis que le grand Stamboul, étant plus haut et plus lointain, ne bouge pas encore.
Quels chrétiens se livrent plus aux divertissemens que les tiens, ô Stamboul, jadis la capitale de leur empire? Ils ont oublié que les turbans souillent maintenant Sainte-Sophie, et que la Grèce n'a plus d'autels. Ils ressentaient tous la commune allégresse qu'aujourd'hui ils sont obligés de feindre.
Stamboul, 25 décembre 1876. Une belle nuit de Noël, bien claire, bien étoilée, bien froide. À onze heures, je débarque du Deerhound au pied de la vieille mosquée de Foundoucli, dont le croissant brille au clair de lune. Achmet est l
Après avoir couru, Izeddin-Ali et moi, tout Stamboul,
Nous voyons reparaître Stamboul avec joie. Ces quelques journées y ont changé l'aspect de la nature; de nouvelles plantes ont poussé sur le toit de ma case; toute une nichée de petits chiens, dernièrement nés sur le seuil de ma porte, commencent
Sous ces cataractes, on donnait au peuple lecture de la charte, et les vieilles murailles crénelées du sérail, qui fermaient le tableau, semblaient s'étonner beaucoup d'entendre proférer en plein Stamboul ces paroles subversives. Des cris, des vivats et des fanfares terminèrent cette singulière cérémonie, et tous les assistants, trempés jusqu'aux os, se dispersèrent tumultueusement.
Dans la mosquée sainte d'Eyoub, Abd-ul-Hamid est allé ceindre en grande pompe le sabre d'Othman. Après quoi, suivi d'un long et magnifique cortège, le sultan a traversé Stamboul dans toute sa longueur pour se rendre au palais du vieux sérail, faisant une pause et disant une prière, comme il est d'usage, dans les mosquées et les kiosques funéraires qui se trouvaient sur son chemin.
C’était loin, très loin, cette porte d’Andrinople, percée dans la grande muraille byzantine, au bout de quartiers que l’on abandonne, de rues qui se meurent d’immobilité et de silence. Il lui fallait traverser presque tout Stamboul, et on commença par monter des rampes où les chevaux glissaient.
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