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Mis à jour: 26 octobre 2025
On la chante souvent, mais non pas en choeur, toujours en solo. Ainsi, quand les travaux sont finis, un détenu sort de la caserne, s'assied sur le perron; il réfléchit, son menton appuyé sur sa main, et chante en traînant sur un fausset élevé. On l'écoute, et quelque chose se brise dans le coeur. Nous avions de belles voix parmi les forçats.
Le solo de voix d'homme inquiétait bien des gens, Joseph s'en tira
Note 283: «Excepto solo Willemo de Rupibus, senescallo Andegaviæ, Juchello de Medianâ, vicecomite S. Susannæ et aliis qu
Quelques semaines après le concert de réhabilitation dont je viens de parler, Paganini vint me voir. «J'ai un alto merveilleux, me dit-il, un instrument admirable de Stradivarius, et je voudrais en jouer en public. Mais je n'ai pas de musique ad hoc. Voulez-vous écrire un solo d'alto? je n'ai confiance qu'en vous pour ce travail. Certes, lui répondis-je, elle me flatte plus que je ne saurais dire, mais pour répondre
Plusieurs de ses airs sont précédés d'un assez long solo instrumental; il faut bien alors que le chanteur garde le silence et attende la fin de la ritournelle. En outre, il emploie fréquemment une forme d'airs qu'il aurait dû proscrire dans sa théorie sur la musique dramatique. Je veux parler des airs
L'impression produite par la symphonie avec chœurs a été grande et solennelle; le premier morceau par ses proportions gigantesques et l'accent tragique de son style, l'adagio, expression de regrets si poétiques, le scherzo émaillé de si vives couleurs et parfumé de si douces senteurs agrestes, ont successivement étonné, ému et ravi l'assemblée. Malgré les difficultés que présente la partie des soprani, dans la seconde moitié de la symphonie, ces dames l'ont chantée avec une verve et une beauté de sons admirables. La strophe guerrière avec le solo de ténor: Comme un héros qui marche
«Ah! monsieur, ce Meyerbeer, cette ouverture de Struensée, cette phrase funèbre, et puis cette danse de paysans si emportée, si colorée, et puis la phrase de mort qui reprend, le duo des violoncelles!... Ah! monsieur, les violoncelles, les violoncelles!... Et, madame, Berlioz, l'air de fête de Roméo?... Oh! le solo des clarinettes, les femmes aimées, avec l'accompagnement des harpes!
Le soleil se lève; solo de violoncelle... léger crescendo. Les petits oiseaux se réveillent; solo de flûte, trilles de violons. Les petits ruisseaux murmurent; solo d'altos. Les petits agneaux bêlent; solo de hautbois.
Puis, dans une phrase plus mouvementée, plus énergique, qui est redite immédiatement par le chœur, le solo s'écrie: «Père, devant toi s'anéantissent mes jours». Notons l'effet troublant qui se dégage après le crescendo, et l'arrêt subit de l'ensemble des voix s'éteignant sur les mots «Un rien».
On applaudit le monologue; on écouta diverses chansons d'artistes de l'Opéra-Comique et des Bouffes, une poésie d'Alfred de Musset par Sarah Bernhardt, un solo de violoncelle par Mlle Galitzin, et vers onze heures, on vit paraître la Stradowska, en robe de satin blanc, longuement gantée de noir, les épaules nues, et sans autre parure qu'un collier de saphirs.
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