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Mis à jour: 28 juin 2025


Rien de ce que nous préparions ne se réalisa selon nos arrangements, et, jusqu'au soir, M. de Solignac vint toujours se mettre entre nous. Humilié de ma lâcheté du matin, j'étais irrité par cette continuelle surveillance au point d'en perdre toute prudence: heureusement Clotilde veillait sur ma colère, et d'un regard ou d'un mot me rappelait

Je voulus ne pas lire, et vivement je repoussai le journal; mais bientôt, je le repris: un entrefilet annonçait le mariage de M. de Solignac, sénateur, avec mademoiselle Clotilde Martory, fille du général Martory. «Ainsi, disait la note, vont se trouver réunies deux illustrations de l'Empire...» Je ne pus en lire davantage, car le journal tremblait dans mes mains comme une feuille secouée au bout d'une branche par une bourrasque.

Un jour, ce fut précisément le contraire de ce que j'avais espéré qui se réalisa: Clotilde, au lieu de devenir ma femme, devint celle de M. de Solignac. Mais cette trahison, si lourde qu'elle fût dans son choc terrible, ne brisa point l'idole cependant: au lieu d'être la statue de l'espérance elle fut celle du souvenir.

Ce vin ne vous paraît pas bon? demanda le général. Il est exquis; mais le premier verre me suffit; je ne saurais en boire un second. M. de Solignac étendit le bras. Je ne bougeai point. Rapidement le pied de Clotilde se retira de dessus le mien. Je voulus le reprendre; je ne le trouvai point. Pendant ce temps, les verres sonnaient les uns contre les autres.

Mais ce n'est pas du chef que j'ai souci, c'est du comparse; ce n'est pas du prince Louis, c'est du commandant de Solignac. Et si nous n'étions pas dans des circonstances politiques qui menacent de nous conduire

Les prédictions de mon camarade Poirier s'étaient réalisées, et M. de Solignac était rapidement devenu une puissance financière avec qui on avait compter; en ces dernières années, ce n'étaient plus les aventuriers qui dînaient

Pécuniairement, je suis exactement dans la même situation qu'au moment j'ai donné ma démission. Vingt fois, peut-être cinquante fois, M. de Solignac m'a offert des occasions superbes pour gagner sans peine de grosses sommes qui, mises bout

Oh! messieurs, dit M. de Solignac, ne faisons pas de politique, je vous en prie; nous avons ici un représentant de la vieille noblesse française, un grand nom de notre pays il se tourna vers moi en souriant qui a quitté l'armée pour ne pas s'associer

M. de Solignac mort, je croyais que Clotilde serait la première

Mais hier je reçus la visite de M. de Solignac; il m'apportait un long rapport sur ces barrages et, dans ce rapport, se trouvaient ma lettre et la tienne, «lettres émanant de deux officiers, disait une note, qui,

Mot du Jour

l'égaierait

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