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Mis à jour: 28 mai 2025
M. de Solignac, presque toujours absent, me laissait toute liberté, j'entends liberté de confiance.
La vue de ce jeune homme qui marchait en long et en large, impatient de tout ce retard, me suggéra une idée, et tandis que la foule continuait au dehors ses chants et ses vociférations, je revins sur M. de Solignac, en même temps que d'un geste j'arrêtais le gendarme qui allait sortir.
Je me retirai dans un coin de la salle, mais je fus bientôt obligé de changer de place, car j'avais en face de moi le gendarme au bandeau noir et sa vue m'exaspérait: il faisait craquer les batteries de son fusil les unes après les autres. Le prêtre arriva; M. de Solignac alla au-devant de lui et le conduisit
Le cas du poitrinaire a été le mien: j'ai vu clairement, comme si je les touchais du doigt, toutes les raisons qui me défendaient d'aller chez M. de Solignac, et cependant j'y suis allé. Sachant d'avance
La politique bannie de la conversation on se rabattit sur les affaires et tous ces nobles convives révélèrent une véritable compétence dans tout ce qui touchait le commerce de l'argent. Si curieux que je fusse de connaître les relations de M. de Solignac par ces conversations, et d'éclaircir ainsi plus d'un point obscur dans sa vie, je me laissai distraire par Clotilde.
L'hôtel de M. de Solignac, en effet, occupe un assez grand terrain dans la rue Moncey, et comme ma maison forme le côté de l'angle opposé au sien, je me trouve ainsi avoir pleine vue sur ses appartements et sur son jardin. La distance est assez longue, il est vrai, mais mes yeux sont bons; et d'ailleurs le jardin arrive contre le mur de la cour de ma maison.
Cette explication, dit M. de Solignac en s'avançant de deux pas, c'est moi qui tiens
Ce Solignac était-il l'ami du général Martory? Cela était bien probable; le signalement que me donnait le maire se rapportait
Ah! c'est de questions de convenances que vous voulez m'entretenir, dis-je, tombant du rêve dans la réalité, rougissant de ma naïveté, humilié de ma sottise, profondément blessé dans ma confiance. Vous sentez, n'est-ce pas, que nous ne pouvons pas garder maintenant les habitudes que nous avions au temps de M. de Solignac. Vraiment?
Mais mon père, mon père, s'écria le jeune châtelain. Nous le délivrerons. Gendarme, faites ce qui vous a été ordonné. Alors, le maire s'avança vers M. de Solignac; je crus qu'il voulait intercéder
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