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Mis à jour: 23 juin 2025
J'ai le front grand et ridé; l'oeil ardent; le nez saillant; les joues larges; le sourcil noir et fourni; la bouche bien fendue; la lèvre rebordée; et la face carrée. Si ce vaste menton était couvert d'une longue barbe; savez-vous que cela figurerait très bien en bronze ou en marbre. MOI. A côté d'un César, d'un Marc-Aurèle, d'un Socrate. LUI. Non, je serais mieux entre Diogène et Phryné.
On s'inscrivait sur son carnet pour une peau comme pour une contredanse. Tranquille et doux comme Socrate au moment de boire la ciguë, l'intrépide Tarasconnais avait un mot pour chacun, un sourire pour tout le monde. Il parlait simplement, d'un air affable; on aurait dit qu'avant de partir, il voulait laisser derrière lui comme une traînée de charme, de regrets, de bons souvenirs.
Cette révolution, inouïe dans l'histoire, c'est l'idéal des grands philosophes réalisé par un grand peuple, c'est l'éducation des nations par l'exemple de la France. Son but, son but sacré, c'est le bien universel, c'est une sorte de rédemption humaine. C'est l'ère entrevue par Socrate, et pour laquelle il a bu la ciguë; c'est l'oeuvre faite par Jésus-Christ, et pour laquelle il a été mis en croix! (Vives réclamations
Va, tempête, gémis, crie, accable Socrate! J'y consens, moi qu'il fuit, discourant et rêvant, Pour lire des mots creux, sous la nue et le vent, Aux gens de Munychie ou du port de Phalère. Ne faiblis pas. Lorsqu'il sera bien en colère, Alors, appelle-moi, ma chère, nous rirons! Les hommes, crois-le bien, seraient moins fanfarons, Si le mors leur blessait la bouche et la narine. Voil
On voit qu'Eckermann allait devenir le secrétaire intime de Goethe, comme Platon celui de Socrate; le titre de disciple était la solde d'Eckermann, il n'en voulait pas d'autre. Toute la maison du poëte-philosophe se composait alors de son fils et de sa belle-fille, femme aimable, instruite, douce, qui gouvernait le ménage et qui répandait sur la vie de Goethe la douce sérénité de son âme. Le grand-duc lui avait donné pour l'été une maison des champs, où nous le verrons aller souvent pour jouir des beaux jours. Sa pension modique suffisait
Si, dans le nombre infini de choses qui sont dans ce livre, il y en avait quelqu'une qui, contre mon attente, pût offenser, il n'y en a pas du moins qui ait été mise avec mauvaise intention. Je n'ai point naturellement l'esprit désapprobateur. Platon remerciait le Ciel de ce qu'il était né du temps de Socrate; et moi je lui rends grâce de ce qu'il m'a fait naître dans le gouvernement où je vis, et de ce qu'il a voulu que j'obéisse
«Cependant ils ne se tiennent point tranquilles et ils disent: Aucun singulier, en tant que singulier, n'est universel, et réciproquement; mais quand il est universel, le singulier est universel, et réciproquement.» Contre cela, voici les paroles que je dis. Aucun singulier en tant que singulier paraît avoir ce sens: aucun singulier demeurant singulier n'est universel demeurant universel; ce qui est conséquemment faux, car Socrate demeurant Socrate est homme demeurant homme. La proposition pourrait encore avoir ce sens: ce qui est le singulier ou la singularité ne confère
La philosophie qui coordonne les données des sciences en une conception homogène du monde, ne fera pas fleurir les nouveaux procédés qui aujourd'hui remplacent la double méthode de Socrate (la maïeutique et l'ironie); elle usera de l'exemple
Il a raison. Vive Socrate! Vive Athènes! Levant sa coupe pleine, Et maintenant, buvons. Invoquons sans terreur La clarté du bon sens qui dissipe l'erreur; Comme Athènè, l'éclair, fond la nue et dissipe L'obscurité! PRAXIAS, levant sa coupe. Buvons! M
Il est vrai que Socrate avait imaginé la distinction de deux sortes de raisonnements, distinction reproduite par Aristote. Le discours, selon ces deux grands esprits, avait pour objet, ou d'exprimer les vérités absolues, ou de persuader par des raisonnements simplement vraisemblables. Dans ce second cas, le discours peut devenir captieux et faire accepter aux ignorants le juste ou l'injuste. «Mais, en distinguant ainsi, Socrate avait-il tort ? et cette distinction même ne lui servait-elle pas
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