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Dans le second acte, rien de plus vif que l'entrée de Taddeo: Ah! signor Mustafa! L'auteur du libretto fait preuve de talent en cet endroit; la situation est forte, elle est expliquée en peu de mots, fort clairement et d'une manière comique. Il serait difficile de trouver quelque chose de plus gai que l'air et la pantomime Viva il gran Kaïmakan!

L'Orfeo ed Euridice, azione theatrale per la musica, del signor cavaliere Cristofano Gluck, fut d'abord un opéra en trois actes fort courts, dont le texte italien avait été écrit par Calzabigi. Il fut représenté pour la première fois

Selon le signor de Romanis, le chef vainqueur de la mosaïque serait Néron Claudius Drusus; le cavalier blessé, un chef gaulois; et le personnage du char, un barde; quant aux noms de ce barde et de ce chef, les noms gaulois sont si barbares et si difficiles

Ces paroles furent prononcées avec ce tact, cette mesure, cette sûreté de ton, d'intention et de portée, qui faisaient de signor Giulio Mazarini le premier comédien du monde.

L'opinion générale a prétendu que c'était la bataille d'Issus, entre Darius et Alexandre. Il signor Francesco Avellino a prétendu que c'était la bataille du Granique. Il signor Antonio Niccolini a prétendu que c'était la bataille d'Arbelles. Il signor Carlo Bonnucci a prétendu que c'était la bataille de Platée. M. Marchand a prétendu que c'était la bataille de Marathon.

Il signor de Romanis est de l'avis du proverbe qui dit que quand on prend du galon on n'en saurait trop prendre; pendant qu'il était en train d'inventer un système, il a inventé une bataille: en effet, sa bataille n'a pas plus de nom que son chef gaulois et son barde.

Maintenant, comment le signor Anga, de capitaine de Syracuse, était-il devenu argousin? C'était une chose assez curieuse que voici: Pendant les années 1810, 1811 et 1812, les rues de Syracuse se trouvèrent tout

DON PÈDRE. Ah! signor, trouverai-je le comte? L'avez-vous vu.

Bah! mon gentilhomme, répondit le soldat avec un certain respect pour la majestueuse apparence de l'étranger, il n'y a pas grand mal, c'est une Espagnole! Pieta! pieta! signor, cria celle-ci en se raidissant

Venise, 11 avril 1818. «Cette lettre vous sera remise par le signor Gioe Bata Missiaglia, propriétaire de la librairie d'Apollon, et le premier éditeur-libraire qui soit maintenant