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Mis à jour: 17 mai 2025
Venait ensuite la fête du fondateur. Puis chacun des héros de la cité, chacune de ces âmes que les hommes invoquaient comme protectrices, réclamait un culte; Romulus avait le sien, et, Servius Tullius, et bien d'autres, jusqu'
Le roi Servius fit une grande réforme
Quand Servius Tullius eut avili les patriciens, Rome dut tomber des mains des rois dans celles du peuple. Mais le peuple, en abaissant les patriciens, ne dut point craindre de retomber dans celles des rois.
Le grammairien Servius, qui était fort instruit des antiquités grecques et romaines (on les étudiait de son temps beaucoup plus qu'au temps de Cicéron), dit que c'était un usage très-ancien d'ensevelir les morts dans les maisons, et il ajoute: « Par suite de cet usage, c'est aussi dans les maisons qu'on honore les Lares et les Pénates. » Cette phrase établit nettement une antique relation entre le culte des morts et le foyer. On peut donc penser que le foyer domestique n'a été
Le roi commandait les armées, et avait l'intendance des sacrifices; il avait la puissance de juger les affaires civiles et criminelles ; il convoquait le sénat; il assemblait le peuple; il lui portait de certaines affaires, et réglait les autres avec le sénat . Voyez le discours de Tanaquil, dans Tite-Live, liv. Ier, et le règlement de Servius Tullius, dans Denys d'Halicarnasse, liv. IV, p. 229.
Ceci nous ramène au culte des morts. Tous les deux sont de la même antiquité. Ils étaient associés si étroitement que la croyance des anciens n'en faisait qu'une religion. Foyer, Démons, Héros, dieux Lares, tout cela était confondu. On voit par deux passages de Plaute et de Columèle que dans le langage ordinaire on disait indifféremment foyer ou Lare domestique, et l'on voit encore par Cicéron que l'on ne distinguait pas le foyer des Pénates, ni les Pénates des dieux Lares. Nous lisons dans Servius: « Par foyers les anciens entendaient les dieux Lares; aussi Virgile a-t-il pu mettre indifféremment, tantôt foyer pour Pénates, tantôt Pénates pour foyer. » Dans un passage fameux de l'
IX, comment cet esprit de Servius Tullius se conserva dans la république.
La prison Mamertine fut construite par Ancus Martius, quatrième roi de Rome, et creusée dans le roc. Les coupables y étaient descendus par un trou qui existe encore. Une seconde prison, en dessous de celle-ci, fut creusée sous le règne de Servius Tullius, sixième roi de Rome, et particulièrement destinée aux exécutions. On laissait cependant ordinairement aux condamnés le choix de leur mort. Leur corps était ensuite exposé sur l'escalier extérieur conduisant
Les traditions et les témoignages de l'antiquité placent sous le règne de Servius les grands progrès des plébéiens. La haine que les patriciens conservèrent pour ce roi, montre suffisamment quelle était sa politique. Sa première réforme fut de donner des terres
«À ce que je viens de dire que Virgile était décoré de pudeur, il ne serait pas juste d'opposer comme une contradiction ce qu'on raconte d'ailleurs de certaines de ses fragilités: «Il fut recommandable dans tout l'ensemble de sa vie, a dit Servius; il n'avait qu'un mal secret et une faiblesse, il ne savait pas résister aux tendres désirs.» On pourrait le conclure de ses seuls vers. Mais, dans son estimable Vie d'Horace, M. Walckenaer me semble avoir touché avec trop peu de ménagement cette partie de la vie et des moeurs de Virgile. Combattant sans beaucoup de difficulté l'opinion exagérée qu'on pourrait se faire de la chasteté de Virgile, il ajoute: «Plus délicat de tempérament qu'Horace, Virgile s'abandonna avec moins d'emportement que son ami, mais avec aussi peu de scrupule, aux plaisirs de Vénus. Il fut plus sobre et plus retenu sur les jouissances de la table et dans les libations faites
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