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Mis à jour: 18 mai 2025
Notons toutefois, puisque aussi bien nous nous efforçons d'enregistrer ici, semaine par semaine, pour les chercheurs de l'avenir, les faits qui intéressent l'histoire, notons les deux phases principales de cette lutte qui fut ardente, les deux scrutins dont le dernier donna
«Conservez, lui dit-il, l'apparence des élections, mais faussez-en les résultats s'ils vous sont contraires, en achetant ou en altérant les votes dans les scrutins.»
Les électeurs de Quissac, on le voit, n'ont guère chômé, et cette fréquence des consultations du suffrage universel n'est peut-être pas l'indice d'un parfait accord entre les divers éléments d'une population que divise notamment la question religieuse (elle compte un tiers de catholiques et deux tiers de protestants). Or, étant donné qu'il s'agit d'une localité de ce Midi où les passions politiques sont vives et les têtes chaudes, la seule mention d'une pareille série de scrutins évoque tout d'abord l'image de scènes violentes: désordres, bagarres, urnes renversées, bulletins lacérés, invectives réciproques, pugilats, intervention de la gendarmerie, procès-verbaux dressés. Eh bien, fait
On fit les démarches les plus actives, et on sollicita les votes avec une hardiesse qui avait lieu d'étonner, en présence d'une autorité aussi redoutée que celle du Premier Consul. M. Daunou fut ballotté au Corps Législatif avec le général Lamartillière, candidat du gouvernement. Il y eut des scrutins réitérés. Enfin M. Daunou obtint 135 voix et le général Lamartillière 122.
Rentré chez lui, il reçut avis qu'il était nommé membre du Conseil général de la Commune. Candidat depuis quatre mois, il avait été élu sans concurrent, après plusieurs scrutins, par une trentaine de suffrages. On ne votait plus: les sections étaient désertes; riches et pauvres ne cherchaient qu'
Les conservateurs ont la majorité officielle; ils règnent, ils gouvernent. Mais ils sentent confusément qu'ils perdent le pays et qu'ils se perdent eux-mêmes. Ils ont la majorité, mais le mensonge notoire des scrutins élève au fond de leur conscience une protestation qui les importune. Ils règnent, mais ils voient que, sous leur règne, le budget s'accroît d'année en année, que le présent est obéré, l'avenir engagé, que la première éventualité nous trouvera sans ressources, et ils n'ignorent pas que l'embarras des finances fut toujours l'occasion des explosions révolutionnaires. Ils gouvernent, mais ils ne peuvent pas nier qu'ils gouvernent les hommes par leurs mauvaises passions, et que la corruption politique pénètre dans toutes les veines du pays légal. Ils se demandent quelles seront les conséquences d'un fait aussi grave, et ce qui doit advenir d'une nation où l'immoralité est en honneur et où la foi politique est un objet de dérision et de mépris. Ils s'inquiètent de voir le régime constitutionnel faussé dans son essence, jusque-l
«Rome, ce 21 mars 1829. «Eh bien! belle dame, j'ai raison contre vous! Je suis allé hier entre deux scrutins, et en attendant un pape,
Ah! vous perdez votre peine, vous perdez vos appels au peuple, vos plébiscites, vos scrutins, vos bulletins, vos additions, vos commissions exécutives proclamant le total, vos banderoles rouges ou vertes avec ce chiffre en papier doré: 7,500,000! Vous ne tirerez rien de cette mise en scène. Il y a des choses sur lesquelles on ne donne pas le change au sentiment universel.
Ce n'est point pour des harangues, des affiches et des scrutins qu'on renversera l'équipe de malfaiteurs qui oppriment et dévalisent la France sous prétexte de République. Seul un maître, soutenu par les honnêtes gens, par les patriotes qui veulent guérir de cette maladie infectieuse: l'esprit de la Révolution, peut les réduire
Francfort était politiquement une ville libre, historiquement une ville impériale. Elle se vantait de tirer son nom du passage des armées de Charlemagne, et gardait avec orgueil la bulle d'or de Charles IV dans son antique Rœmer, où se faisaient l'élection et le couronnement des empereurs. Mais elle avait, comme les cités italiennes, son gouvernement municipal où les artisans avaient part. Elle élisait, en des scrutins compliqués
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