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Mis à jour: 14 juin 2025


Madame Bonaparte demanda des détails; ils ont été sus depuis. On avait conduit le prince dans un des fossés du château; quand on lui avait proposé un mouchoir, il le repoussa dignement, et s'adressant aux gendarmes: «Vous êtes Français, leur dit-il, vous me rendrez bien au moins le service de ne point me manquerIl remit un anneau, des cheveux et une lettre pour madame de Rohan; Savary montra le tout

Le Premier Consul avait rappelé le colonel Savary de cette falaise de Biville, l'on avait vainement attendu les princes mêlés au complot, et il lui confia le soin de veiller au sacrifice du prince qui n'y avait aucune part. Le colonel Savary était prêt

Le maréchal Mortier, qui pendant toute la journée fit grandes preuves de sang-froid et d'intrépidité, en maintenant la gauche, marcha alors en avant, et fut soutenu par les fusiliers de la garde, que commandait le général Savary. Cavalerie, infanterie, artillerie, tout le monde s'est distingué.

Le général Savary y envoya le général de division Reille, chef de l'état-major du corps d'armée. L'infanterie russe, sur plusieurs colonnes, voulut emporter la ville. On la laissa avancer jusqu'

Savary, ayant reçu de l'empereur l'injonction de lui rendre compte de ce que faisait l'ex-ministre Fouché dans son château de Ferrières, fit un premier rapport annonçant qu'il était

Ce Savary, l'objet de la terreur générale, malgré sa conduite, ses actions connues et cachées, n'était point foncièrement un méchant homme. Le goût de l'argent fut sa passion dominante. Sans aucun talent militaire, mal vu de ses valeureux camarades, il lui fallut songer

L'empereur avait envoyé son aide-de-camp, le général Savary, pour complimenter l'empereur de Russie dès qu'il avait su ce prince arrivé

Mais vous savez que je ne la veux pas, que je n'ai rien de prêt pour la faireEt derechef ordre fut donné au duc, en termes absolus cette fois et péremptoires, de rentrer ses crocs, de laisser Tchernitchef parfaitement tranquille, libre d'«aller, venir, voir, écouter». «Il n'y manquait que l'ordre de le faire informer moi-même», ajoutait plus tard Savary d'un ton boudeur, au souvenir de sa mésaventure .

L'intervention du prince eut quelque effet. «Les visages ont pris un air plus riant, écrivait Savary, quelques portes se sont ouvertes. » Au bout d'un mois et demi de quarantaine, il fut reçu dans certaines maisons, s'y trouva avec des Russes haut placés, put les observer, et, le 23 septembre, une première note, après une sommaire et franche constatation des tendances hostiles de la société, transmettait une suite d'appréciations sur quelques personnages en vue . Savary s'est rencontré avec le prince Adam Czartoryski, de réputation européenne, chargé des affaires étrangères avant Austerlitz, «aujourd'hui sénateur et membre du Conseil; on ajoute dans le public: ami de l'empereur. Il a une conduite inexplicable, a l'air de ne se mêler de rien, et l'opinion le place presque partout. On ne sait ce qu'il veut; il voit peu de monde...» Et Savary ajoute, en marge, cette note qui surprend: «Je l'ai trouvé fort au-dessous de sa réputation. C'est un homme de l'opinion duquel on doit peu se soucierJadis, le prince formait avec MM. Kotchoubey, Strogonof et Novossiltsof le conseil intime de l'empereur, ce que l'on appelait le Comité de salut public; que sont devenus les autres membres de ce cénacle? Kotchoubey est ministre de l'intérieur, mais sa position est ébranlée; Novossiltsof reste

Le général Savary, avec deux régimens de cavalerie, a déj

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