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Mis à jour: 4 mai 2025
La nouvelle des excursions heureuses des Canadiens et ce convoi arrivèrent en même temps au grand entrepôt du pied du lac Supérieur, et au moment où les ambassadeurs des nations de ces contrées, allaient partir pour conclure un traité définitif avec les cinq cantons; mais quand ils virent les Français, victorieux de leurs ennemis, arriver chargés de marchandises et en assez grand nombre pour les rassurer contre la vengeance des Iroquois, ils ne craignirent plus de rompre avec eux, et, charmés des présens que Perrot leur présenta et qu'il fit valoir avec une adresse admirable, ils s'attachèrent plus étroitement que jamais aux intérêts de la France.
Mais, dans les cabinets des grands restaurants, ou dans les salles des cabarets populaires, ils s'attachèrent
J'ai un sursis, continua-t-elle; mais il va, dit-on, arriver des chariots aujourd'hui, et ils ne partiront pas vides pour le tribunal révolutionnaire." Ici ses yeux s'attachèrent
À ce serment étrange et dont moi et le mort, peut-être, pouvions seuls comprendre le véritable sens, je vis ou je crus voir s'accomplir un effroyable prodige. Les yeux du cadavre se rouvrirent et s'attachèrent sur moi plus vivants que je ne les avais jamais vus, et je sentis, comme si ce double rayon eût été palpable, pénétrer un fer brûlant jusqu'
Mais trois hommes s'attachèrent
Nous sommes prêts!... Tous les yeux s'attachèrent sur le marquis de La Tour-Miranne qui tapotait d'un air distrait une marche militaire sur le bord de la table. Eh bien, Robert, que décidez-vous?.... interpella le Père Tranquille en frappant familièrement sur l'épaule de son ami. Nous attendons votre décision. Le sportsman, tiré de sa rêverie, tressaillit.
On a vu que dans sa retraite de Louveciennes, madame du Barry avait conservé de nombreux amis. Parmi eux se trouvait M. le duc de Brissac. Brave, loyal et d'une superbe figure, le duc fit impression sur le cœur de la comtesse. Ils s'attachèrent bientôt l'un
Je m'en fus donc un matin, en traîneau, avec un sac d'argent chercher cette négresse, nommée Judith, chez son maître Wilbeck. Ce dernier était le frère de l'homme d'affaires de M. Renslaër. Je lui dis que j'avais appris par le Petroon son intention de vendre la négresse Judith. Il s'en défendit, prétextant qu'elle lui était très utile. Je lui répondis qu'il n'ignorait pas que l'on ne pouvait refuser de vendre un nègre quand il le demandait; que cette femme lui en avait témoigné le désir, mais qu'il l'avait battue au point de la tuer et qu'elle en était encore malade. Brutalement il répliqua qu'elle pourrait chercher un maître quand elle serait guérie. «Faites-la appeler, lui dis-je, elle en a trouvé un.» Elle vint. En apprenant que j'avais acheté son mari et que je voulais l'acheter également pour les réunir, la pauvre femme tomba pâmée sur une chaise. Alors Wilbeck, qui connaissait mes relations avec M. Renslaër, ne résista pas plus longtemps. Je lui comptai l'argent et prévint Judith que son mari viendrait le lendemain la chercher, ainsi que sa petite fille. Celle-ci, âgée de trois ans moins quelques mois, devait suivre sa mère, d'après la loi. C'est ainsi que notre ménage noir se trouva formé. Nous eûmes véritablement beaucoup de bonheur. La femme comme l'homme étaient d'excellents sujets, actifs, laborieux, intelligents. Ils s'attachèrent
Le bonhomme n'eût point été fâché de se rendre compte par lui-même, ainsi qu'il le disait, mais Lecoq était pressé. En route, en route! dit-il, vous vérifierez mes assertions une autre fois.... Ils sortirent alors du jardinet, et s'attachèrent aux empreintes qui remontaient vers les boulevards extérieurs, en appuyant toutefois un peu sur la droite dans la direction de la rue du Patay.
Et toutes ces mains enfantines s'attachèrent
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