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On en rapporte, avec le plaisir d'avoir appris, le désir de savoir, la curiosité scientifiqueAinsi s'exprimait, il y a quelque quarante ans, M. Patin, en un rapport sur les lauréats de l'Académie française. On ne saurait mieux définir le genre de littérature auquel reste attaché désormais le nom de son créateur.

Il n'y a rien de nouveau assurément dans ce qui précède et les Allemands comme les Anglais n'ont fait qu'appliquer chez eux des idées exposées depuis bien longtemps chez nous. Voici comment s'exprimait

Il s'exprimait très-haut sur la nécessité de se débarrasser de Napoléon, et, en cela, il me semblait l'écho de Paris. Il parlait du retour des Bourbons comme du salut de la France. Ce langage, dans la bouche d'un homme de sa position, me parut singulier. Je combattais ses idées

Ainsi s'exprimait en juillet 1805 Anna Pavlovna Schérer, qui était demoiselle d'honneur de Sa Majesté l'impératrice Marie Féodorovna et qui faisait même partie de l'entourage intime de Sa Majesté. Ces paroles s'adressaient au prince Basile, personnage grave et officiel, arrivé le premier

Oui, il y a en elle un peu de cette fougue... murmura non sans satisfaction André Antonovitch, mais en même temps il trouvait de fort mauvais goût la liberté avec laquelle ce malappris s'exprimait sur le compte de Julie Mikhaïlovna.

Le 31 janvier, il s'exprimait ainsi devant la Convention: «Ce n'est pas en mon nom seulement, c'est au nom des patriotes belges, du peuple belge, que je viens demander la réunion de la Belgique. Je ne demande rien

Le général citait avec une gratitude particulière les noms de ceux qui, malgré la défaite et la calomnie, n'étaient pas allés grossir les rangs de ses ennemis. Sans parler de Pierre Denis, pour lequel Mme Marguerite et lui éprouvaient une véritable affection, il ne s'exprimait jamais qu'avec la plus grande déférence sur le compte de Henri Rochefort. De même sur celui de Mme Séverine, qu'il ne connaissait d'ailleurs que par ses articles, mais

Il s'exprimait d'un ton glacé, de cet accent que doit avoir le condamné, dont le bourreau a pris possession et qui dicte ses volontés dernières... «Je me sentais devenir folle... « Et vous, m'écriai-je, vous!... que deviendrez-vous!... «Il hocha la tête, et avec une expression de tristesse farouche: « Moi!... répondit-il, qu'importe!... Je suis sans doute perdu... Tant mieux.

L'abbé s'exprimait de ce ton bref et impérieux de l'homme qui assumant toute la responsabilité d'une situation, veut être obéi sans discussion.

Maurepas s'exprimait plus nettement. Il ne craignait pas de dire