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Mis à jour: 17 juin 2025
Nous revenions par la traverse aux premières clartés le la lune; c'était une des plus belles soirées que nous ayons eues cette année. Il faisait un peu frais; mais le paysage était si bien éclairé, l'air était si parfumé des plantes aromatiques qui croissent dans les ruisseaux, le rossignol chantait si bien, que j'étais vraiment disposée aux idées romanesques. Jacques proposa de prendre un chemin encore plus court que celui que nous suivions. «Il est assez difficile pour les chevaux, me dit-il, et je n'ai pas encore osé t'y conduire; mais puisque tu as eu aujourd'hui un si grand accès de courage que de vouloir essayer Chouiman, tu auras bien celui de descendre au pas un sentier un peu raide. Certainement, lui dis-je, puisque tu crois qu'il n'y a pas de danger.» Et nous nous mîmes en route dans un ordre très-pittoresque. Un groupe de chasseurs, escorté des limiers et des cors, marchait en tête, portant le sanglier, qui était énorme; les cavaliers venaient ensuite, nous au centre; nous entourions le flanc de la colline d'une ligne noire d'où partait de temps en temps un éclair quand le sabot d'un cheval heurtait le roc. Derrière nous, un autre corps de piqueurs et de chiens suivait lentement, et les fanfares s'appelaient et se répondaient des deux extrémités de la caravane. Quand nous fûmes au plus rapide du sentier, Jacques dit
Une nuit qu'il tombait de la neige, elle avait été recueillie par un monsieur et une dame qui s'appelaient Hubert et Hubertine. Hubert et Hubertine étaient chasubliers, c'est-
Dotchov semblait avoir pris de l'avance, et, au plus loin du camp, presque au fin fond de la nuit, les Bulgares s'appelaient avec des cris, se donnaient des indications rapides, haletantes, entremêlées de coups de feu qui faisaient briller les eaux du torrent.
Ces pillards s'appelaient eux-mêmes les Tard-Venus; venus après la guerre, il leur fallait aussi leur part. La principale compagnie commença en Champagne et en Lorraine, puis elle passa en Bourgogne: le chef était un Gascon, qui voulait, comme l'Archiprêtre, les mener voir le pape
Moi, par entraînement, je criais plus fort que tout le monde: mais, au fond, je n'étais pas fou de Baghavat. En somme, ces poèmes indiens se ressemblaient tous. C'était toujours un lotus, un condor, un éléphant et un buffle; quelquefois, pour changer, les lotus s'appelaient lotos; mais,
Pourquoi Cadiou ne serait-il pas une espèce de Marat et de Bonaparte en même temps? pourquoi n'aurait-il pas des instincts sublimes et misérables? Il faut voir ici les choses de plus haut que l'histoire écrite. Il y avait en France alors des milliers de Bonaparte, des milliers de Marat, des milliers de Hoche, des milliers de Robespierre et de Saint-Just, lequel, par parenthèse, était un fou aussi. Seulement ces types, plus ou moins réussis par la nature, et plus ou moins effacés parles événements, s'appelaient Cadiou, Motus ou Riallo ou Garguille, ils n'en existaient pas moins. Les idées et les passions qui remirent un peuple en émoi, une société en dissolution et en reconstruction, ne sont pas propres
Au Mexique, un ordre de nobles, qui avaient pour patron le soleil, s'appelaient les chevaliers aigle. À certains jours de fête, ils sacrifiaient sur cette pierre une victime humaine, qu'ils appelaient le messager du Soleil. Je traduis du P. Durand les détails de ce sacrifice.
19. Jack Thomson, Bill Thomson. Tous les autres, comme le grand poète, s'appelaient Jemmy . J'ignore s'ils avaient un cimier ou des armoiries, mais un tel parrain vaut sans doute bien un quartier. Quant aux Smith, ils étaient trois Pierre; mais le premier d'entre eux tous, le plus habile
Venus en flânant, pour donner un coup d'oeil aux boulevards, ils s'appelaient, ils s'exclamaient sur la mort de cette pauvre fille; puis, ils causaient politique et stratégie. Bordenave, Daguenet, Labordette, Prullière, d'autres encore avaient grossi le groupe. Et ils écoutaient Fontan, qui expliquait son plan de campagne pour enlever Berlin en cinq jours.
Sur ces entrefaites, les Vendéens s'étaient réunis le 1er juin. Ils avaient introduit quelque régularité chez eux, et nommé un conseil pour gouverner le pays occupé par leurs armées. Un aventurier, qui se faisait passer pour évêque d'Agra et envoyé du pape, présidait ce conseil, et, en bénissant des drapeaux, en célébrant des messes solennelles, excitait l'enthousiasme des Vendéens, et leur rendait ainsi son imposture très utile. Ils n'avaient pas encore choisi un généralissime; mais chaque chef commandait les paysans de son quartier, et il était convenu qu'ils se concerteraient entre eux dans toutes leurs opérations. Ces chefs avaient fait une proclamation au nom de Louis XVII et du comte de Provence, régent du royaume en la minorité du jeune prince, et ils s'appelaient commandans des armées royales et catholiques. Ils projetèrent d'abord d'occuper la ligne de la Loire, et de s'avancer sur Doué et Saumur. L'entreprise était hardie, mais facile en l'état des choses. Le 7 ils entrèrent
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