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Mis à jour: 25 juin 2025
Quelqu'un près de lui la nomma... Félicia Ruys... Dès lors il comprit l'attrait rare de cette jeune fille, continuatrice du génie de son père, et dont la célébrité naissante était arrivée jusqu'
Despite the protest of the author, contemporaries found originals for a number of the characters of this novel. The duc de Mora is Morny, and several others have been identified with greater or less certainty. Félicia Ruys is perhaps Sarah Bernhardt.
Le duc de Mora doit venir? Certainement. C'est pour lui que la soirée est donnée; pour le faire rencontrer avec Jansoulet. Et vous pensez que le duc et mademoiselle Ruys... D'où sortez-vous?... C'est une liaison connue de tout Paris... Ça date de la dernière exposition où elle a fait son buste. Et la duchesse?... Bah! Elle en a bien vu d'autres... Ah! voil
La maîtresse de la maison, Félicia Ruys, la fille du célèbre sculpteur, connue déj
Ruys était fier de ce talent qui grandissait
C'est une étrange fille, cette Félicia. Une vraie fille d'artiste, d'un artiste génial et désordonné, bien dans la tradition romantique, comme était Sébastien Ruys. Elle n'avait pas connu sa mère, étant née d'un de ces amours de passage qui entraient tout
C'est encore la danseuse, fallait-il qu'elle fût abandonnée, cette petite Ruys, qui, triomphant de l'égoïsme paternel, exigea du sculpteur une séparation nécessaire, quand Félicia eut douze
Le première personne qu'il aperçut en arrivant, ce fut Félicia Ruys, debout, appuyée au socle d'une statue, entourée de compliments et d'hommages auxquels il se hâta de venir mêler les siens.
«Qu'est-ce qu'elle a?» disait le père Ruys; et Jenkins, avec l'autorité du médecin, mettait cela sur le compte de l'âge et d'un trouble physique. Lui-même évitait d'adresser la parole
Une vaste pièce richement meublée avec le goût artistique qui caractérisait le maître et la maîtresse de la maison. Quelques tableaux anciens sur le fond clair des draperies. Une cheminée monumentale, décorée d'un beau groupe de marbre, «les Saisons,» de Sébastien Ruys, autour duquel de longues tiges vertes découpées en dentelle ou d'une raideur gaufrée de bronze se recourbaient vers la glace comme vers la limpidité d'une eau pure. Sur les sièges bas, les femmes groupées, pressées, confondant presque les couleurs vaporeuses de leurs toilettes, formant une immense corbeille de fleurs vivantes, au-dessus de laquelle flottaient le rayonnement des épaules nues, des chevelures semées de diamants, gouttes d'eau sur les brunes, reflets scintillants sur les blondes, et le même parfum capiteux, le même bourdonnement confus et doux, fait de chaleur vibrante et d'ailes insaisissables, qui caresse en été toute la floraison d'un parterre. Parfois un petit rire, montant dans cette atmosphère lumineuse, un souffle plus vif qui faisait trembler des aigrettes et des frisures, se détacher tout
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