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La scène est tantôt en France, tantôt en Toscane. On est en Roussillon. Appartement dans le palais de la comtesse. Entrent BERTRAND, LA COMTESSE DE ROUSSILLON H

Jadis la France a possédé en Espagne la Navarre, tandis que l'Espagne possédait en France la Cerdagne et le Roussillon. C'était une double anomalie, un désordre. Le bon sens politique de la France et de l'Espagne a fini par régulariser cette situation. Tout ce qui est en deç

Les hommes du parti français, c'est ainsi que ce parti s'appelait, ne voulaient point reconnaître que les lois d'équilibre de l'Europe obéissent au temps et se renouvellent. Ils n'étaient pas satisfaits de ce long effort de la France qui avait successivement rogné de l'empire de Charles-Quint le Roussillon, la Bourgogne, l'Alsace, la Franche-Comté, l'Artois, le Hainaut, le Cambrésis, et l'Espagne, et Naples, et la Sicile, et la Lorraine, et le Barrois. Ils oubliaient le présent de l'Angleterre pour ne se rappeler que le passé de l'Autriche. Qu'était, aux yeux de ce parti, le mariage de Marie-Antoinette, sinon une défaite? qu'était Marie-Antoinette, sinon le gage et la garde des traités de la nouvelle politique inaugurée sous le règne de madame de Pompadour? Le chef de ce parti, le petit-neveu du cardinal de Richelieu, l'ennemi personnel du duc de Choiseul, M. d'Aiguillon, disposait du clergé et du parti des Jésuites, hostiles

Avant que de dire le reste, il faut parler de la Catalogne et du Roussillon, puisqu'aussi bien fut-ce

PAROLLES. Quel est votre bon plaisir, seigneur? LAFEU. Votre seigneur et maître a bien fait de se rétracter. PAROLLES. Se rétracter? mon maître, mon seigneur? LAFEU. Oui: est-ce que je ne parle pas une langue intelligible? PAROLLES. Une langue fort dure, et qu'on ne peut entendre sans qu'il s'ensuive quelque effusion de sang. Mon maître! LAFEU. Êtes-vous le camarade du comte de Roussillon?

Fauchet croit aussi que la fin tragique des Amours du châtelain de Coucy, a pu fournir le sujet de la Nouvelle de Guillaume de Roussillon, Journ. IV, Nouv. IX; mais elle est évidemment tirée du provençal.

L'Empereur marcha la nuit. Le matin, il arriva au Péage de Roussillon il s'arrêta pour déjeuner. Les habitants de ce bourg se montrèrent profondément pénétrés de douleur. L'Empereur dut haranguer la foule. L

À la distance j'étais, il m'était difficile de distinguer l'attitude de la statue; je ne pouvais juger que de sa hauteur, qui me parut de six pieds environ. En ce moment, deux polissons de la ville passaient sur le jeu de paume, assez près de la haie, sifflant le joli air du Roussillon: Montagnes régalades. Ils s'arrêtèrent pour regarder la statue; un d'eux l'apostropha même

Louis-le-Grand (rue): Il est assez curieux de voir le jugement porté sur Louis XIV par Napoléon et les motifs pour lesquels il l'exalte ou le blâme: «Louis XIV fut un grand roi: c'est lui qui a élevé la France au premier rang des nations de l'Europe; c'est lui qui le premier a eu 400,000 hommes sur pied et 100 vaisseaux en mer; il a accru la France de la Franche-Comté, du Roussillon, de la Flandre, etc;.... Mais les 200 millions de dettes, mais Versailles, mais Marly, ce favori sans mérite, mais mademoiselle de Maintenon, Villeroi, Tallard, Marsin, etc! Eh! le soleil n'a-t-il pas ses taches? Depuis Charlemagne, quel est le souverain, roi de France, qu'on puisse comparer

Au centre, il y avait la grande cité de Toulouse, république sous un comte. Les domaines de celui-ci s'étendaient chaque jour. Dès la première croisade, c'était le plus riche prince de la chrétienté. Il avait manqué la royauté de Jérusalem, mais pris Tripoli. Cette grande puissance était, il est vrai, fort inquiétée. Au nord, les comtes de Poitiers, devenus rois d'Angleterre, au midi la grande maison de Barcelone, maîtresse de la Basse-Provence et de l'Aragon, traitaient le comte de Toulouse d'usurpateur, malgré une possession de plusieurs siècles. Ces deux maisons de Poitiers et de Barcelone avaient la prétention de descendre de saint Guilhem, le tuteur de Louis le Débonnaire, le vainqueur des Maures, celui dont le fils Bernard avait été proscrit par Charles le Chauve. Les comtes de Roussillon, de Cerdagne, de Conflant, de Bézalu, réclamaient la même origine. Tous étaient ennemis du comte de Toulouse. Il n'était guère mieux avec les maisons de Béziers, Carcassonne, Albi et Nîmes. Aux Pyrénées c'étaient des seigneurs pauvres et braves, singulièrement entreprenants, gens