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Mis à jour: 17 juillet 2025


Mes roses sont rouges, répondit-il, aussi rouges que les pattes des colombes et plus rouges que les grands éventails de corail que l'océan berce dans ses abîmes, mais l'hiver a glacé mes veines, la gelée a flétri mes boutons, l'ouragan a brisé mes branches et je n'aurai plus de roses de toute l'année. Il ne me faut qu'une rose rouge, cria le rossignol, une seule rose rouge.

Oui, me répondit le rossignol, mais ce n'est pas ce que vous croyez. Ma femme m'ennuie, je ne l'aime point; je suis amoureux de la rose: Sadi, le Persan, en a parlé. Je m'égosille toute la nuit pour elle, mais elle dort et ne m'entend pas. Son calice est fermé

Et, sans prendre la précaution de flairer, elle plongea sa queue au fond du tonneau. Mais, quand elle voulut la retirer, elle poussa un cri de douleur. Sa queue ne venait pas, sa queue était collée, sa queue s'était enfoncée dans un tonneau de glu. L'empereur de Chine avait dans son jardin un rossignol qui s'appelait Bulbul et qui était son ami.

Plusieurs cavaliers les suivaient avec le bruit si bien imité par les vers cadencés de Virgile. Quelques musiques lointaines répondaient au bruit, et, quand les harmonies cessaient, le rossignol, chanteur plein d'orgueil, envoyait

Lembke écoutait attentivement, mais l'expression de son visage pouvait se traduire par ces mots: «On ne nourrit pas un rossignol avec des fables

Rondes de printemps surtout, si on en juge par le début des chansons courtoises qui rappellent presque toutes la réapparition des feuilles et des fleurs, avec le retour des oiseaux; la mention du mois de mai, du rossignol, de l'hirondelle ou de l'alouette, oiseaux populaires et poétiques, laisse entrevoir dès les premiers vers des chansons les plus conventionnelles les origines lointaines de cette poésie.

Artiste! J'ai dit ce mot, et je ne m'en dédis pas. Ce n'est pas une analogie, une comparaison de choses qui se ressemblent: non, c'est la chose elle-même. Le rossignol,

Le rossignol, qui du bocage Charme l'écho mélodieux, Avait cessé son doux ramage, Et dans les bois silencieux Naguère on n'entendait sous l'ombre Que la bise aux sifflets aigus, Qui va battant d'une aile sombre Le tronc plaintif des arbres nus.

J'excuse de bon coeur la gloutonnerie des affamés. Mais que dire des nôtres, dans les plus riches pays de l'Europe, qui, après moisson et vendange, les greniers et les celliers pleins, n'en poursuivent pas moins avec furie ces pauvres voyageurs? Gras ou maigre, tout leur est bon; ils mangeraient jusqu'aux hirondelles; ils dévorent les oiseaux chanteurs, «ceux qui n'ont que le sonLeur frénésie sauvage met le rossignol

Les fleurs rêvent, les fleurs frissonnent sous la nuit; Et, blanches, comme un sein adorable qui luit Dans la sombre splendeur d'une robe entr'ouverte, Les roses, du milieu de l'obscurité verte, Tandis qu'un rossignol par la lune exalté Pour elles chante et meurt sous cette nuit d'été, Les roses au corps pâle, en écartant leurs voiles, Folles, semblent s'offrir aux baisers des étoiles.

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