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Mis à jour: 20 juin 2025
C'était Bulbul qui chantait. Et Bulbul chanta jusqu'
Bien vrai? dit Leila d'une voix plus mélodieuse que celle de Bulbul faisant ses aveux
Et, sans prendre la précaution de flairer, elle plongea sa queue au fond du tonneau. Mais, quand elle voulut la retirer, elle poussa un cri de douleur. Sa queue ne venait pas, sa queue était collée, sa queue s'était enfoncée dans un tonneau de glu. L'empereur de Chine avait dans son jardin un rossignol qui s'appelait Bulbul et qui était son ami.
Bulbul venait manger dans sa main, et, la nuit, quand l'empereur ne pouvait pas dormir, Bulbul chantait si bien, que l'empereur oubliait tous les soucis de son métier. Mais un jour son ministre lui dit: «Je connais un rossignol qui chante aussi le jour et qui a un bien beau plumage.»
N'entends-tu pas les lamentations du bulbul, sur la longueur de ton absence?» Les Mahométans, et particulièrement les Turcs, conservent une espèce de vénération religieuse pour la rose. Ils pensent qu'elle fut produite pour la première fois de la sueur de leur Prophète, et ils ne souffrent pas que ses feuilles soient foulées aux pieds.
Le nom persan de la rose, gul, revient souvent dans les poésies orientales de Byron: c'est qu'en effet, la rose, et le rossignol, bulbul, sont le sujet perpétuel des comparaisons et des amplifications poétiques de l'Orient; et il y a tant de grâce et de fraîcheur dans les amours de cette reine des fleurs et de cet oiseau mélodieux personnifiés, que l'on ne doit pas être surpris de les voir si souvent reproduites. «Le printems est délicieux! dit Sâdi; oh! rose! où as-tu été?
Le tombeau qui subsiste sur les rochers du promontoire est regardé par quelques écrivains comme le tombeau de Thémistocle. La passion du rossignol pour la rose est une fable persanne bien connue. Si je ne me trompe, le Bulbul des mille contes d'amour est une de ses dénominations orientales.
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