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Mis à jour: 22 juin 2025
J'aime, pour ma part, ces exubérances, cet orgueil, ces effets de muscles, cette outrance, cette manie de révolte. Je voudrais pouvoir dire que M. Richepin est, en poésie, un superbe animal, un étalon de prix, de croupe un peu massive. C'est plaisir d'assister
Don Quichotte (M. Leloir). Sancho Panza (M. Brunot). «DON QUICHOTTE», DE M. JEAN RICHEPIN, AU TH
Et le cynisme, la passion de l'ordure dans les mots et dans les images ne paraît point diminuer, il s'en faut. Ce n'est point ma pudeur qui est ici blessée. Lucrèce, quand il nous peint Vénus renversée dans les bras de Vulcain, ne me blesse aucunement. Un grand nombre des phénomènes de la nature semblent appeler la comparaison avec l'acte par lequel se perpétue la race humaine; je ne sais guère de plus beaux vers que ceux où Virgile symbolise le Printemps par l'accouplement de Jupiter et de la Terre, et certes les traits du tableau ne sont point timides. Mais il y a autre chose chez M. Jean Richepin. La préoccupation des gestes et des attitudes de l'amour physique est chez lui une véritable obsession. Tout, dans l'univers, prend
Je crois que la Chanson des Gueux, de Jean Richepin, parue un peu avant l'Assommoir, l'aura excité
Mais (et c'est ce qui, suivant les goûts, nous gâte M. Richepin ou nous le rend plus curieux
L'Illustration publiera d'abord, après leur première représentation, les deux grandes oeuvres dramatiques qui vont être jouées au commencement d'octobre: DON QUICHOTTE, comédie en trois parties et huit tableaux, en vers, de JEAN RICHEPIN,
Zola avait contre lui des préventions et des coalitions. On lui reprochait d'abord la crudité de certains passages de ses livres, l'argot de l'Assommoir, la Mouquette montrait trop sa lune dans Germinal. Ce n'était pas toutefois une cause absolue d'exclusion. L'Académie avait eu dans son sein des auteurs qui ne reculaient pas devant le terme propre, lequel est d'ailleurs presque toujours le contraire. S'il eût vécu, Zola aurait triomphé certainement de cette répugnance. Est-ce que l'Académie ne vient pas de recevoir, et très justement, le poète puissant et le talentueux auteur qu'est Jean Richepin? Cependant, la Chanson des Gueux contient des sonorités et des verdeurs dont Zola n'eut pas le monopole. La Débâcle et la fausse interprétation donnée
Dans les Caresses, on ne saurait douter de la sincérité de l'inspiration initiale. Il paraît hors de doute que M. Richepin a le tempérament fougueux et les reins exigeants, et qu'il est peu enclin
Dans Consuelo, le hussitisme n'est qu'un épisode. La partie vraiment attrayante de l'oeuvre, ce sont les incidents romanesques où le génie de George Sand se donne carrière: le voyage souterrain de la Porporina pour rejoindre Albert de Rudolstadt, l'arrivée d'Anzoleto au château des Géants, l'odyssée d'Haydn, les embûches tendues par le recruteur Mayer. Ce sont aussi telles pages prestigieuses, comme le discours de Satan qui se dit le frère du Christ, et maints paysages qui évoquent devant nos yeux le charme et la diversité de la nature. Quel poète se flatterait d'égaler cette prose harmonieuse et rythmée? Voici, par exemple, un passage qui traduit beaucoup mieux que le Chemineau, de M. Jean Richepin, la vision d'une route se déroulant
Il y a beaucoup plus de sincérité dans la Mer. Il me semble que c'est, avec la Chanson des Gueux, le meilleur livre de M. Richepin. Les marins, ces gueux de la mer, y sont glorifiés par quelqu'un qui les a vus de près et qui les aime; et nous avons moins de peine
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