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Mis à jour: 11 mai 2025
La symphonie en ut mineur, au contraire, nous paraît émaner directement et uniquement du génie de Beethoven; c'est sa pensée intime qu'il y va développer; ses douleurs secrètes, ses colères concentrées, ses rêveries pleines d'un accablement si triste, ses visions nocturnes, ses élans d'enthousiasme, en fourniront le sujet; et les formes de la mélodie, de l'harmonie, du rhythme et de l'instrumentation s'y montreront aussi essentiellement individuelles et neuves, que douées de puissance et de noblesse.
Ici, les femmes tiennent le tambourin ferme, et le touchent comme si c'était un clavier. Le bruit qu'elles en tirent, en ayant l'air de l'effleurer, est formidable et marque un rhythme si accusé et si accentué, que rien n'y résiste, et que la plus médiocre danseuse prend de l'élan et comme de la fureur.
Ce que nous avons vu plus haut de l'état social et religieux des anciens âges nous explique comment cette classe a pris naissance. La religion ne se propageait pas; née dans une famille, elle y restait comme enfermée; il fallait que chaque famille se fît sa croyance, ses dieux, son culte. Mais nous devons admettre qu'il y eut, dans ces temps si éloignés de nous, un grand nombre de familles où l'esprit n'eut pas la puissance de créer des dieux, d'arrêter une doctrine, d'instituer un culte, d'inventer l'hymne et le rhythme de la prière. Ces familles se trouvèrent naturellement dans un état d'infériorité vis-
Encore une fois, toutes ces pièces n'éclatèrent pas sur les lieux mêmes; mais les impressions d'où elles naquirent, y furent ressenties. Elles tombèrent alors dans l'âme du poète, puis, comme si le temps n'existait pas dans certaines profondeurs intellectuelles, frémirent un jour aussi vives, et trouvèrent, dans l'esprit du moment, des paroles et un rhythme. Des heures comme celles qu'il passa sur les pentes de Bannockburn et,
Le rhythme d'orgueil. Une dame très-forte sur la théologie, et qui joue aussi très-bien du piano, a publié récemment une brochure curieuse sur le rhythme, où l'on trouve entre autres choses entièrement nouvelles le passage suivant: «La musique de Beethoven fait aimer et se complaire dans le désespoir (l'auteur a peut-être voulu dire que cette musique fait aimer le désespoir et s'y complaire); on y pleure des larmes de sang, non pas sur les douleurs d'un Dieu mort pour nous, mais bien sur la perte éternelle du diable. Rhythme d'orgueil qui cherche la vérité, qui implore la vérité, mais qui ne veut pas accepter cette vérité dans les conditions où il lui a plu de se révéler
Cependant, avant de vous dérouler ces vers admirables qui semblent avoir conservé dans leur harmonie et dans leur couleur les ondulations sonores de la vague contre les flancs du vaisseau, le rhythme des rames d'où dégoutte l'onde amère, les frémissements des brises du ciel dans les cyprès, les mugissements des troupeaux sur les montagnes de l'Ionie ou de l'Albanie, et les reflets des feux de bergers dans les anses du rivage, permettez-moi de vous faire une remarque qui appartient moins
Le rhythme, un rhythme simple comme celui du premier morceau, mais d'une forme différente, est encore la cause principale de l'incroyable effet produit par l'allegretto. Il consiste uniquement dans un dactyle suivi d'un spondée, frappés sans relâche, tantôt dans trois parties, tantôt dans une seule, puis dans toutes ensemble; quelquefois servant d'accompagnement, souvent concentrant l'attention sur eux seuls, ou fournissant le premier thème d'une petite fugue épisodique
frappant du talon, claquant des doigts, hochant la tête, psalmodie sur un rhythme furieux, au son des cymbales et d'une flûte aiguë: Viens! viens! viens! sors de ta caverne! Véloce qui cours sans pieds, capteur qui prends sans mains! Sinueux comme les fleuves, orbiculaire comme le soleil, noir avec des taches d'or, comme le firmament semé d'étoiles!
Je composai donc sans peine sur ce thème un morceau qui me paraît d'un grand caractère, d'un rhythme saisissant par son étrangeté même, dont les enchaînements enharmoniques me semblent avoir une sonorité solennelle et funèbre, et dont la mélodie se déroule d'une façon dramatique dans son lent et continuel crescendo. Je l'ai entendu en Allemagne dans mes concerts, j'en connais bien l'effet.
Il posa sa massue contre le rocher, se croisa les bras sur la poitrine, et modula quelques vers d'un rhythme étrange. Bientôt il leva les mains vers le ciel en jetant quelques éclats de voix; puis, saisissant son casse-tête, il le brandit avec fureur. Ses gestes étaient menaçants, ses regards vraiment terribles; par moments, quelques intonations douces se mêlaient
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