Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 21 mai 2025


Tout fut fait comme je l'avais dit, et nous nous assîmes sur l'herbe, les enfants dans l'attitude de la curiosité, ma femme dans un silencieux recueillement. Je leur composai alors une petite histoire appropriée

Je composai cette bibliothèque littéraire comme j'aurais composé la mienne; et malgré mes instructions, y faisant entrer des in-8°, j'y plaçai, indépendamment de nos classiques, le Théâtre des Grecs, l'Iliade, l'Odyssée, Shakespeare, Rabelais, Montaigne, Rousseau et l'élite de nos moralistes et de nos romanciers.

À quoi penses-tu? À rien, maman... ... Et puis je cédai. Je fus lâche, et je composai avec ma déception. Rejetant les débris du petit escargot écrasé, je ramassai le beau mot, je remontai jusqu'

Je composai donc sans peine sur ce thème un morceau qui me paraît d'un grand caractère, d'un rhythme saisissant par son étrangeté même, dont les enchaînements enharmoniques me semblent avoir une sonorité solennelle et funèbre, et dont la mélodie se déroule d'une façon dramatique dans son lent et continuel crescendo. Je l'ai entendu en Allemagne dans mes concerts, j'en connais bien l'effet.

Je composai en conséquence la courte prière qui suit, et je la mis en tête de mes tables d'examen, pour m'en servir tous les jours.

Je me composai dans Hameln un petit train d'obusiers, avec leur approvisionnement; je n'avais que cela et l'artillerie de campagne pour aller mettre le siége devant Nienbourg. Heureusement, la veille de mon départ, il m'arriva le 12e régiment d'infanterie légère, qui avait reçu ordre de venir me rejoindre, au lieu de se rendre

Avant de rentrer, je composai la musique de Antchar de Pouschkine, pour basse. Je ne fus pas très satisfait de cette œuvre et elle resta reléguée dans mes tiroirs jusqu'en 1897. Pendant l'hiver de 1882-83, je continuai

Je me souviens d'un amusement que je me procurai vers le même temps. Je priai une des femmes de chambre de la reine de recueillir les cheveux fins qui tombaient, de la tête de Sa Majesté quand on la peignait, et de me les donner. J'en amassai une quantité considérable, et alors, prenant conseil de l'ébéniste, qui avait reçu ordre de faire tous les petits ouvrages que je lui demanderais, je lui donnai des instructions pour me faire deux fauteuils de la grandeur de ceux qui se trouvaient dans ma boîte, et de les percer de plusieurs petits trous avec une alène fine. Quand les pieds, les bras, les barres et les dossiers des fauteuils furent prêts, je composai le fond avec les cheveux de la reine, que je passai dans les trous, et j'en fis des fauteuils semblables aux fauteuils de canne dont nous nous servons en Angleterre. J'eus l'honneur d'en faire présent

Son fils, quoique bien jeune encore, annonçoit un homme excellent; et ses deux filles, sans être belles, avoient un charme naturel dans l'esprit et dans les manières qui m'engageoit autant et plus que n'eût fait la beauté. La plus jeune des deux, Jenny, avoit fait sur mon âme une impression vive. Ce fut pour elle que je composai la romance de Pétrarque, et je la lui chantai en lui disant adieu.

Puis, après avoir dévoré les poëmes d'Ossian et les tragédies de Ducis, d'après Shakespeare, je voulus aussi écrire une tragédie. J'en composai le plan. Cela commençait dans une forêt de Cornouailles, le soir d'un combat. Mon frère me donna le premier vers: Du sang! Partout du sang! Chaque arbre, chaque feuille...

Mot du Jour

cuthbert

D'autres à la Recherche