Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 21 juin 2025
«Et figure-toi, Justine, ma Justine, je les revoyais toujours avec une petite couronne que nous avions été chercher ensemble dans les blés, une couronne de bluets qui te faisait si jolie! Mais tu ne te souviens pas de tout cela, toi, n'est-ce pas ma Petite-Reine. Non, répondit Guite en baissant les yeux sous l'ardent regard de la pauvre femme, je ne me souviens pas.
Je me revoyais aujourd'hui, rue Pinon, dans le grand lit de ma mère. D'un côté il y avait mon oncle Armand,
Je l'aimais, je la voulais heureuse, mais elle a déserté le nid conjugal; elle voyage depuis assez longtemps sans résidence fixe.... Elle n'a pu supporter ce que je lui faisais souffrir, chaque nuit, pauvre ange! quand je rentrais ivre ou fou.... Elle était mon idole et, pourtant, si je la revoyais....
Je me revoyais petit enfant de cinq ou six ans, jouant au-dessous du moulin sur le bord de l'eau, et faisant dans le sable de petits lacs où je mettais des gardèches, ou quelqu'autre fretin que j'attrapais avec un crible. Couché sur le ventre je les regardais aller et venir tout étonnées de se voir enfermées.
Quel voyage! Il eût pu être si beau! À l'ordinaire, c'était avec un enthousiasme toujours nouveau que je revoyais ce pays merveilleux, cette côte d'azur aperçue au réveil comme un coin de paradis après l'horrible départ de Paris, dans la neige, dans la pluie ou dans la boue, dans l'humidité, dans le noir, dans le sale!
Pendant que le général parlait et qu'elle écoutait, sans un mouvement, les yeux baissés, je revoyais dans mon esprit l'image de ma vieille mère et de ma pauvre sœur, pleurant toutes les larmes de leur corps
Je le revoyais, en sa marche militaire, quand, après la lecture des journaux, dans ce vieux cabinet de lecture qui existe encore au passage de l'Opéra, il arpentait, des heures, le boulevard des Italiens, de la rue Drouot
J'y consens, répondit sir William, car j'avoue que votre exemple et vos affirmations m'ébranlent et m'impressionnent beaucoup. Si c'est un simple rêve qui s'est emparé de moi pendant la cérémonie que présidait l'éléphant sacré, il a été si précis et si frappant, que je n'en ai pas oublié la moindre circonstance. Et moi aussi, j'avais été éléphant, éléphant blanc, qui plus est, éléphant sacré par conséquent, et je revoyais mon existence entière
«C'est pour toi», disait ma mère en me faisant voir la pièce et avant de la glisser dans le trou! Je ne la revoyais plus! «Ce sera, ajoutait-elle, pour t'acheter un homme!»
Dès que mes yeux s'arrêtaient sur lui, j'entendais la chanson traînante, somnolente, en fausset montagnard: «Ah! ah! la bonne histoire!...» puis je revoyais le porche blanchi du domaine de Bories, au milieu d'un silence de soleil et d'été. Alors un immense regret me prenait des vacances passées; tristement je constatais le recul où elles étaient déj
Mot du Jour
D'autres à la Recherche