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Mis à jour: 12 mai 2025
Un peu plus bas resplendissent les Enseigres, qui, spécialement, marquent les heures aux bergers. D’aucuns les nomment les Trois Rois, d’autres les Trois Bourdons ou le Râteau ou le Faux Manche. Précisément, c’est Orion et la ceinture d’Orion. Très bien. Encore plus bas, toujours vers le midi, brille Jean de Milan. Sirius, si je ne me trompe.
Quel ravissant coup d'oeil offrent les magasins de Rome pendant la semaine de Noël. Les blanches Madones ornent les façades, ou resplendissent
Infiniment au-dessous de ce prélat, resplendissent, comme elles peuvent, des améthystes inférieures et de subalternes crosses: les Landriot, les Gerbet, les Ségur, les Mermillod, les La Bouillerie, les Freppel, infertiles époux de leurs églises particulières et glaireux amants d'une muse en fraise de veau, qui leur partage ses faveurs.
«À qui donc appartiennent ces beaux arbres d'or, embaumés de suaves parfums et qui, chargés de fleurs et de fruits d'or, resplendissent
Qu'il y ait un regrettable temps d'arrêt, nous sommes au premier rang pour le déplorer; mais nous avons la conviction qu'il se rencontrera un jour quelque Epiménide inspiré qui, dans son sommeil réparateur, puisera les forces nécessaires pour tenter encore l'oeuvre difficile peut-être, mais non impossible, de faire revivre les poëtes du passé, avec toutes les grâces, toutes les harmonies qui resplendissent dans leurs vers éternels.
Aujourd'hui ces paroles de miséricorde, d'apaisement, de fraternelle passion, resplendissent dans leur idéale beauté.
L'église est éclairée comme aux soirs de grande fête. Les lampes, les torchères, les candélabres resplendissent ç
Notre vue embrasse le plus admirable des spectacles. Les prairies resplendissent d'un vert particulier, vert tendre, et comme pâli sous la rosée. La fumée s'échappe des toits de briques: c'est le repas du matin...
Voyez: quand le printemps paraît, Les Grâces font croître les roses. Voyez: le flot de la mer Vient mourir avec calme. Voyez comme le canard plonge, Voyez comme voyage la grue. Le soleil brille sans voiles, Les ombres des nuages sont mises en fuite, Les ouvrages des hommes resplendissent. La terre s'incline sous le poids de ses fruits, Le fruit de l'olivier saillit en dehors, La vigne de pampres se couronne. Sous la feuillée,
Le Satyre est gauche et timide, et son corps, ployé aux voûtes des cavernes, n'a point l'éclat et la beauté dont resplendissent les habitants des cieux. La Terre, sa pauvre mère, l'a créé humble et difforme, et chétif et dénué; pour tout héritage il n'a reçu qu'un chalumeau.
Mot du Jour
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