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«À propos de M. de La Bouillerie, je n'ai point répondu

À M. le baron DE LA BOUILLERIE, intendant général de la maison du roi.

Infiniment au-dessous de ce prélat, resplendissent, comme elles peuvent, des améthystes inférieures et de subalternes crosses: les Landriot, les Gerbet, les Ségur, les Mermillod, les La Bouillerie, les Freppel, infertiles époux de leurs églises particulières et glaireux amants d'une muse en fraise de veau, qui leur partage ses faveurs.

Le prince de la Paix dispose souverainement de toutes les ressources de la monarchie espagnole. Animadversion de la nation. Il est forcé d'avoir recours aux partis extérieurs. La duchesse d'Orléans, M. de La Bouillerie. Nos troupes s'emparent d'une partie de l'Espagne. Conjuration d'Aranjuez. Ferdinand proclamé roi d'Espagne.

Le ministre du trésor, qui voyait cette nomination de mauvais oeil, s'excusa de ne l'avoir pas proposée. Il ne l'avait pas fait, parce que d'après sa reddition de comptes, M. de la Bouillerie était redevable au trésor d'une somme de quatre cent mille francs qu'il représentait par un bon du général Moreau. «Sur quel fonds, demanda le premier consul, cette somme a-t-elle été payée? Sur les fonds mis

L. BOUCHER. William Cowper, sa correspondance et ses poésies, par Léon Boucher. Paris, Sandoz et Fischbacher, 1874. Le Symbolisme de la Nature, par Mgr de la Bouillerie. 2 vols. Victor Palme, Paris, 1879. BRANTOME. OEuvres complètes de Pierre de Bourdeille, abbé séculier de Brantome, par J. A. C. Buchon. 2 vols. Paris, au Bureau du Panthéon Littéraire, 1853.

M. de La Bouillerie porta lui-même son rapport. L'empereur le fit entrer de suite; il feuilleta le rapport, qui était très long, et, sans le lire, il mit, de sa main, sous l'émargement de La Bouillerie, ces mots: Approuvé. NAPOL

M. de la Bouillerie, en acceptant la charge de payeur-général, avait mis pour condition qu'on ne lui demanderait pas de cautionnement. Il ne s'informa pas, du reste, quel serait son traitement, et fut même trois années sans en toucher. Le premier consul, devenu empereur, l'apprit et répara cet oubli d'une manière assez large pour que M. de la Bouillerie fût plus que satisfait.

La sage administration de monsieur de La Bouillerie, sous le nom d'intendant, avait réparé le mal en peu d'années, et, avant la révolution de 1830, la liste civile était libérée de toute dette.

M. Pétiet lui proposa M. de la Bouillerie, qui avait été payeur-général de l'armée du Rhin sous le général Moreau, avec lequel il était étroitement lié. Le premier consul ne le connaissait point, mais il se rappela qu'un administrateur de ce nom avait été autrefois