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INNOCENT. Tu as ma tante, toi. SIMPLICIE. Oui, c'est agréable, ma tante! Elle me donne des soufflets, elle me gronde. Je la déteste. INNOCENT. Tu as Prudence. SIMPLICIE. Prudence est ma bonne; je ne peux pas faire d'elle ma société. INNOCENT. Elle t'aime. Ici personne ne m'aime, SIMPLICIE. Pourquoi as-tu voulu venir? C'est ta faute. INNOCENT. Oui, c'est ma faute; je m'en repens bien, Je t'assure.

Je me repens d'une chose, infâme renégat! c'est de ne pouvoir t'assommer sur l'heure... Ermite, notre ami, tu entends ce saint homme... tu vois sa repentance... qu'en faisons-nous, mes Vagres? À mort! celui qui enterre des vivants avec des cadavres!

»Vous me percez le coeur en me causant le plus violent chagrin que j'aie enduré de ma vie. J'avois mis tout mon espoir en vous, mais je vous connoissois mal. Vous avez eu l'adresse de me déguiser la méchanceté de votre âme et la bassesse de vos sentimens. Je me repens mille fois des bontés que j'ai eues pour vous, des soins que j'ai pris de votre éducation et des peines que j'ai souffertes pour vous. Je ne vous reconnois plus pour ma fille et ne vous regarderai dorénavant que comme ma cruelle ennemie, puisque c'est vous qui me sacrifiez

Je l'ai offensée, mortellement offensée, mon ami, je le voulois, et néanmoins je m'en repens avec amertume; mais aussi comment se peut-il que le jour même j'apprends par hasard de madame de Vernon, que madame d'Albémar doit aller chez le peintre de M. de Serbellane, le jour je la vois emporter ce portrait avec elle, madame de Vernon me propose de rencontrer chez elle madame d'Albémar, de lui dire adieu, lorsqu'elle part pour rejoindre M. de Serbellane! et de quels termes madame de Vernon, inspirée sans doute par madame d'Albémar, se sert-elle pour m'y engager! elle me rappelle l'amitié, les liens de famille qui doivent me rapprocher de sa nièce! Non, je ne suis ni le parent, ni l'ami de Delphine; je la hais ou je l'adore, mais rien ne sera simple entre nous, rien ne se passera selon les règles communes. Il est vrai, je ne devois pas me servir d'expressions blessantes en refusant de la voir; tant de circonstances cependant s'étoient réunies pour m'irriter! je fus tout le jour assez content de moi-même, mais la nuit, mais le lendemain qui suivit, je ne pus me défendre du remords d'avoir outragé celle que j'ai si tendrement aimée. J'allai chez madame de Vernon pour la conjurer de ne pas montrer ma réponse

Soyez braves et songez que la mort ne m'effraie aucunement. Je suis prêt pour paraître devant Dieu; c'est même un bonheur qu'il m'ait appelé en de si bonnes conditions. Pardonnez-moi si je vous ai causé quelquefois de la peine, je m'en repens; pardon pour tous ceux que j'ai pu offenser. Je vous embrasse toutes deux le plus fort de mon coeur, ainsi que Clémentine toujours bonne. Marcel CLAROT.

Elle fixa sur le confesseur un regard ardent: Mon père, dit-elle, si je me repens de mes fautes, Dieu me les pardonnera-t-il?... Si vous les avouez, oui!

J'étais dans la misère, je ne savais comment vivre... C'est la Chouette qui m'a conseillé... Maintenant je me repens... vous le voyez, puisque j'avoue... Ah! si vous étiez assez généreux pour ne pas me livrer

Tu te repens donc, bien vrai? GASTON, [tombant

«L'épreuve est terrible, me dit-il aussitôt en se levant. Je ne me repens pas de l'avoir tentée; mais je jure de ne plus m'y exposer. Avouez, monsieur, que vous avez été au moment de vous emporter contre moi. Oui, Philippe. Si vous saviez... Monsieur Frédéric, je vous le répète, si jamais vous me méprisez, vous me rendrez le plus malheureux des hommes. Philippe, je pourrai avoir intérieurement de l'humeur contre vous; mais vous mépriser, mépriser celui qui, depuis mon enfance, a veillé sur ma destinée, ah! jamais. Pourquoi me tourmentez-vous, Philippe, vous qui autrefois ne pensiez qu'

Vous avez usé de violence envers moi; je suis si las, mon indifférence est si profonde, que je n'ai pas déployé contre vous, en cette circonstance, l'énergie d'un homme. Je le sais; je ne m'en repens pas. A quoi m'eût servi de punir votre insolence ou de briser ma faiblesse contre votre force?