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Mis à jour: 21 juin 2025


Marie de Rohan, duchesse de Luynes, étoit surintendante de la maison de la Reine; devenue veuve en 1621, elle se remaria avec le duc de Chevreuse, sous le nom duquel elle est célèbre par ses intrigues, et surtout par l'amitié dont Anne d'Autriche l'honora. Celle-ci pouvoit bien avoir ses motifs de ne concevoir aucune inquiétude des empressements du Roi pour la belle connétable. Nous lisons, t. 13, p. 633, du Recueil manuscrit de Conrart (Bibliothèque de l'Arsenal, 902, in-fol.), que Louis XIII disant

Fille aînée de tout petits paysans, laitiers et maraîchers, originaire d'une de ces rudes contrées flamandes que se sont partagées la France, la Hollande et la Belgique, jusque vers sa seizième année elle eût pu le disputer en formes plantureuses et en façons pataudes avec la jeune fermière des Pèlerins! Son père se remaria et, pour combler le malheur de la petiote, seule enfant du premier lit, il mourut après lui avoir donné quantité de frères et soeurs. La marâtre de Blandine l'excédait de travail et de coups. Elle fut courageuse et stoïque, vraie bête de somme: non seulement elle aida sa seconde mère dans les besognes du ménage, s'occupa de débarbouiller, de veiller et de soigner ses puînés, mais elle travaillait au potager, gardait les vaches, se rendait toutes les semaines

En 1680 (2 février) madame de Sévigné écrit: «J'avois préparé un petit discours raisonné et je l'avois divisé en dix-sept points comme la harangue de VasséL'allusion n'est pas pour nous. Le fils de Vassé (vidame du Mans) épousa la deuxième fille du maréchal d'Humières, qui se remaria

«Adeline était fille d'un riche joaillier d'Alexandrie; son père ayant dissipé sa fortune se remaria

Il y avait une fois un gentilhomme qui se remaria avec une femme du plus mauvais cœur qu'il fut possible de voir. Il en eut une fille qui ressemblait

Ma grand'mère maternelle, madame Chappron, était veuve depuis longues années; elle jouissait d'une assez belle fortune et se remaria; elle épousa M. le comte de Méhégan, frère de l'abbé de Méhégan, connu comme auteur. Il était maréchal de camp, et sa famille, irlandaise d'origine, avait accompagné en France le roi Jacques. C'était un brave soldat, ayant fait avec quelque distinction la guerre de Sept-Ans. Comme je n'avais pas encore les connaissances nécessaires pour entrer dans l'artillerie, que d'ailleurs il ne devait pas y avoir d'examen avant plusieurs années, il me fit donner le brevet de sous-lieutenant dans un corps de milice, le bataillon de garnison de Chartres, compagnie de Coquille, manière d'avoir des droits plus anciens pour la croix de Saint-Louis et les récompenses militaires. Ce brevet ne me donnait aucun devoir

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