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Lorsque je partis de Smyrne, je chargeai mon ami Ibben de te faire tenir une boîte il y avoit quelques présents pour toi; tu recevras cette lettre par la même voie. Quoique éloigné de lui de cinq ou six cents lieues, je lui donne de mes nouvelles, et je reçois des siennes aussi facilement que s'il étoit

«Pardonne-moi, mon bien-aimé Jacques, la douleur que je viens te causer. Toi qui ne pleurais plus, je vais te faire pleurer encore une fois; ce sera la dernière par exemple.... Quand tu recevras cette lettre, ton pauvre Daniel sera mort....»

Un tiers, c'est peu, car il faudra que je m'habille. Je suis tout nu. Eh bien! je double; ta journée est de trente sous au prix courant du pays, je te la paie trois francs; tous les jours tu en recevras la moitié, l'autre moitié étant consacrée

LE ROI JEAN. Ma vie, plutôt! Roi de France, je te défie. Arthur de Bretagne, remets-toi entre mes mains; et tu recevras de mon tendre amour plus que jamais ne pourra conquérir la lâche main du roi de France, soumets-toi, mon garçon.

Nous reproches-tu de ne t'avoir pas encore exposé? Dans trois jours tu recevras de nous, dès le matin, l'offrande affectée

LE FOU. L'hiver n'est pas encore passé, si les oies sauvages volent de ce côté. Le père qui porte des haillons Rend ses enfants aveugles; Mais le père qui porte la bourse Verra ses enfants affectionnés. La Fortune, cette insigne prostituée, Ne tourne jamais sa clef pour le pauvre. De tout cela tu recevras de tes filles autant de douleurs que tu pourrais en compter pendant une année.

Voici la moitié d'un billet de banque de cent francs; tu recevras l'autre moitié quand tu m'auras accusé réception de celle-ci. Tu les recolleras ensemble et chez un changeur on te donnera ton argent.

Il s'entend que d'umble cremeur Les sains sacremens recevras Lors seras de tout point asseur D'estre le champion vaicteur De l'ennemy que tu verras Pour luy tu ne te changeras Mais demourras sans faire change Obeissant a ton bon ange

«J'apprends que la guerre est déclarée, et j'espère encore que tu recevras ton congé avant l'ouverture de la campagne. Chaque matin, je prie Dieu de t'épargner de nouveaux dangers; il m'exaucera, il voudra bien que tu puisses un jour me fermer les yeux.

Et je porte ce papier au ministre, qui me dit: «Vois-tu que je ne t'ai pas oublié? Tu porteras une petite machine! dit-il en touchant mon habit... Et toi, Renard, tu recevras demain,