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Mis à jour: 20 mai 2025


Malheureusement, je ne l'y ai jamais forcée, dit-elle d'un ton vibrait une émotion puissante. Si j'avais agi envers elle comme je l'ai fait pour Isabelle, elle vivrait encore, ma jolie Lucienne. Mais j'ai été faible... Pendant plusieurs années après mon mariage, uniquement occupée de mes travaux littéraires, de la renommée que j'ambitionnais, du succès, de la célébrité même qui m'arrivait alors que j'étais si jeune encore, je laissais mes enfants aux soins d'une gouvernante... Et cependant, je les aimais, je le compris le jour mon second fils mourut d'une chute causée par l'imprudence d'une servante. Alors je rapprochai de moi Marcel et Lucienne, je m'occupai d'eux... mais surtout pour les gâter, car je ne pouvais résister au moindre caprice de ces êtres ravissants... Oui, on a vanté bien souvent ma force de caractère, mon invincible énergie, et, de fait, je n'ai jamais plié, excepté devant mes enfants. Aussi qu'est-il advenu?... Après une vie folle que lui payaient les sommes chaque année plus considérables gagnées par sa mère, Marcel Norand est mort

«Je vis le changement soudain que mon regard produisit dans sa contenance. C'était un homme hardi, et pourtant son visage devint blafard. Il recula sa chaise, je rapprochai la mienne plus près de lui, et comme je me mis

Un peu effrayé de leurs gueules menaçantes et de tout ce vacarme que j'avais provoqué, je me rapprochai de mon rassurant compagnon: Laisse-les aboyer, me dit-il. Dans la vie, tu verras, c'est tout pareil. Dès qu'on fait un peu de bruit, tous les chiens se précipitent. Si l'on se retourne, c'est une lutte ridicule. Le mieux est de ne pas s'occuper d'eux. Il faut laisser aboyer les chiens.

J'avais sur moi le tome second des Voyages de Spallanzani. J'ouvris au hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son épaule

Je me rapprochai de la route avant le retour de Fonsalbe: j'étais très mouillé; il prétendit qu'on eût pu arriver jusqu'

S'apercevant de ma légère stupeur, il se tourna vers moi, et d'une voix nonchalante, qui laissait traîner les mots comme des savates, il me dit: Moi... je suis un type dans le genre de Balzac... je bois énormément de café. Un tel début n'était point fait pour me déplaire. Je me rapprochai. Il demanda de quoi écrire.

Je me rapprochai de Faloppa dont j'étais séparé seulement par la hauteur de la digue, pour lui dire de suivre la gauche de la colonne; que, tant qu'

Je ne crus devoir troubler par aucune parole le cours de cette émotion soudaine, et je m'éloignai de quelques pas avec respect. Après un moment, la voyant relever le front et replacer d'une main distraite ses cheveux dénoués, je me rapprochai. Que je suis honteuse! murmura-t-elle.

Alors, vous ne refuserez pas de me suivre? Je vous suivrai partout! Car vous comprenez, continua-t-il, que nous ne pouvons être heureux qu'en fuyant. Oh oui! m'écriai-je, fuyons. Silence! fit-il en tressaillant, silence! Vous avez raison. Et je me rapprochai toute tremblante de lui.

La journée s'avança sans que je visse revenir Huriel avec sa soeur Thérence. Le père Bastien s'en étonnait un peu, mais ne s'en inquiétait point. Plusieurs fois, je me rapprochai de Brulette et de Joset, qui ne se tenaient pas loin de l

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chalut

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