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Mis à jour: 29 juin 2025


La constatation de ces progrès posthumes accomplis par Mme Westland affola son inconsolable veuf et l'entraîna dans des exigences franchement réalistes, car il ne se contenta plus des étreintes muettes qui, paraît-il, avaient caractérisé les précédentes rencontres funèbres de la même espèce entre les deux époux: Oh! pour cette fois, parle! parle-moi, chère âme, s'écria violemment M. Westland; ne persiste pas dans ce silence, obstiné, cruel, inexorable, qui me torture, qui me rend fou!

Le romantisme de notre temps, aux gestes réalistes et aux sentiments artificiels, ne tardera pas

Avec l'exemple de Dickens, des de Goncourt, des romanciers russes, par-dessus tout de Balzac, le double tempérament de M. Zola montre qu'il n'existe pas plus d'écrivains purement réalistes qu'il n'y a d'absolus idéalistes. PAR

Si le roman a des prétentions réalistes par le fond, il n'en est pas de même quant

Mais les conséquences d'une doctrine ne sont pas cette doctrine même, tant qu'elle les ignore. Les réalistes ne se savaient point platoniciens; les nominalistes ne se croyaient pas tous sceptiques; les conceptualistes enfin n'entendaient nullement se confondre avec les nominalistes. Les uns comme les autres n'aspiraient le plus souvent qu'

La question était donc alors connue; mais on la laissait dans l'ombre; on était loin d'en faire, comme plus tard, le problème fondamental de la philosophie. Les qualifications de réalistes et de nominaux étaient inconnues. On lit dans un lettré du Xe siècle, Gunzon de Novare: «Aristote dit que le genre, l'espèce, la définition, le propre, l'accident ne subsistent pas; Platon est persuadé du contraire. Qui, d'Aristote ou de Platon, pensez-vous qu'il vaut mieux en croire? L'autorité de tous deux est grande, et l'on aurait peine

À la vérité, nous n'en doutions guère. Et il ne faudrait pas dire que M. Joseph Bertrand a montré la partialité de Louis de Montalte pour faire plaisir aux jésuites; on risquerait fort de dire une sottise. Ces querelles de la grâce sont aussi mortes que celles des réalistes et des nominaux.

Les personnages des romantiques n'ont rien de cela (et qu'on ne m'accuse pas de mettre Balzac tantôt avec les réalistes, tantôt avec les romantiques; on peut savoir que je le fais exprès, ayant toujours considéré Balzac comme étant moitié romantique, moitié réaliste, presque exactement), les personnages des romantiques sont des abstractions vivifiées, quelquefois magnifiquement, par le rêve. Les personnages de Zola sont des abstractions encore plus vides, vivifiées par un rêve triste de matérialiste grossier, au lieu de l'être par le rêve bleu d'un idéaliste en extase. Non seulement ils ne sentent pas la réalité, mais ils révèlent l'horreur qu'a leur auteur

Le petit vaux mieux. L'école de 1715, nonobstant Voltaire, avait laissé quelque chose derrière elle. Les précieux s'étaient évanouis, ou atténués, ou transformés en faiseurs de madrigaux et en poètes du Mercure; mais les réalistes étaient restés. Partis d'assez bas, ils ne s'élevèrent jamais, et même au contraire; mais ils furent intéressants; ils contèrent bien leurs vulgaires histoires, quelquefois vilaines, ils créèrent toute une école de romanciers et de nouvellistes intelligents, vifs de style, piquants, parfois même, quoique trop peu, observateurs, parfois même et, comme par hasard, donnant un petit livre il y a du génie. De Le Sage

Ce n'est pas la controverse sur l'un ou l'autre idéalisme que la scolastique a élevée, lorsqu'elle a ouvert le débat entre les réalistes et les nominaux. Les uns disaient: les genres et les espèces sont des réalités; les autres: les genres et les espèces sont des mots; d'autres enfin disaient: ce sont des pensées. Or, si c'était l

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