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Mis à jour: 26 juin 2025
L'ode politique n'a aucun caractère dans Rousseau: il en partage la faute avec les événements et les hommes qu'il célèbre. La naissance du duc de Bretagne, la mort du prince de Conti, la guerre civile des Suisses en 1712, l'armement des Turcs contre Venise en 1715 , la bataille même de Péterwaradin, tout cela eut dans le temps plus ou moins d'importance, mais n'en a presque aucune aux yeux de la postérité. Le poëte a beau se démener, se commander l'enthousiasme, se provoquer au délire, il en est pour ses frais, et l'on rit de l'entendre,
De Paris, le 17 de la lune de Saphar, 1715. USBEK A RH
Si blasé, pouvait-il avoir au moins quelque caprice? Grand problème, pierre philosophale. On a vu qu'en 1715, les jacobites de la cour de Saint-Germain avaient cru, bonnes gens, réussir avec une Anglaise, lactée, fraîche et beurrée. Et ils y avaient échoué. La Tencin, plus profonde, inventa mieux que la fade rose d'Occident. Elle essaya la rose orientale.
La rébellion de 1715 eut lieu peu de temps après que la célébrité de Rob-Roy se fut établie et dès lors ses opinions jacobites se trouvèrent en opposition avec la reconnaissance qu'il devait au duc d'Argyle pour sa protection indirecte. Le désir de mêler le bruit de ses pas au tumulte d'une guerre générale le porta
Jusqu'au dernier soupir, Louis XIV mérite le nom de Grand. Il meurt mieux qu'il n'a vécu. Tout ce qu'il y a d'élevé, de majestueux, de grandiose dans cette âme d'élite, se réveille au moment suprême. Sa mort est celle d'un roi, d'un héros et d'un saint. Comme les premiers chrétiens, il fait une sorte de confession publique; il dit, le 29 août 1715, aux personnes qui avaient les entrées: «Messieurs, je vous demande pardon du mauvais exemple que je vous ai donné. J'ai bien
La première donnée au public parut dans les premiers jours d'octobre 1715, un mois environ après la mort de Louis XIV. Elle se trouve dans un écrit intitulé: Journal historique de tout ce qui s'est passé depuis les premiers jours de la maladie de Louis XIV, jusqu'au jour de son service
«Le samedi 31 août 1715 (c'est encore Saint-Simon qui parle, et nos lecteurs ne s'en plaindront pas), la nuit et la journée furent détestables. Il n'y eut que de courts et rares instants de connaissance. La gangrène avait gagné le genou et toute la cuisse. On lui donna du remède de feu abbé Aignau, que la duchesse du Maine avait envoyé proposer. Les médecins consentaient
Il y a, pour ce comble de honte, deux fortes raisons qui l'expliquent: Premièrement, une défaillance générale. Depuis 1715, chacun avait voulu, espéré, tenté quelque chose. Et chacun était retombé. La France, après Law, aplatie. L'Espagne, après son Parmesan, sous sa Parmesane, aplatie. L'Angleterre même, après Blount et sa duperie grossière, mortifiée. Tout le monde avait mal au coeur.
Tels sont les motifs littéralement exprimés dans l'édit de 1717, qui révoque celui de 1714 et la déclaration de 1715.
Né en 1715,
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