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Mis à jour: 27 juin 2025


Nous sommes malheureusement très peu renseignés sur lui. À travers même le journal de sa femme qui l'adore, il apparaît presque au second plan, se reposant sur elle de tous les soins du ménage et des tracas quotidiens, heureux, semble-t-il, d'avoir abdiqué entre les mains de son frère ses droits de chef de famille avec leurs responsabilités. Dans les Confidences, son fils en a parlé de façon respectueuse mais quelque peu vague; le portrait, d'allure militaire, est joliment campé, mais n'est pas tout

Est-ce que, dans les actes quotidiens de la vie, tu éprouves la nécessité de l'existence d'un Dieu? Tu vis sans lui et en dehors de lui, et n'y songerais jamais si certains n'avaient intérêt

A elle aussi, quand elle était jeune fille, son père un jour, était venu dire: Je t'ai découvert un mari. Elle l'avait accepté les yeux fermés. Toute froissée et meurtrie d'outrages quotidiens, elle s'était réfugiée dans le mariage comme dans un port de salut.

L'instinct de Kâlagani lui disait que des rapports presque quotidiens s'établiraient forcément entre le kraal et le sanitarium. C'est ce qui arriva, et, dès le premier jour, il fut assez heureux, non seulement pour se signaler

Eh bien! ces cuves en porcelaine sont un des grands soucis quotidiens de notre ménage: jamais d'eau l

[Note 327: Les écrivains comiques et satyriques du temps, Sorel, Cyrano, Scarron, d'Assoucy, Boileau, Saint-Amant, Naudé dans le Mascurat, Tallemant, etc., etc., font souvent allusion aux chantres et poètes du Pont-Neuf, les hôtes quotidiens du Cheval de bronze. Dès le matin, on entendoit retentir les refrains, parmi les cris des marchands de libelles et de poésies, qui en étoient quelquefois les auteurs eux-mêmes. «Contraint par la nécessité, lit-on dans l'Histoire du poète Sibus (recueil en prose de Sercy, 2e v.), il alla encore sur le Pont-Neuf chanter quelques chansons qu'il avoit faitesMaillet, le poète crotté, y heurtoit maître Guillaume, et le comte de Permission y coudoyoit le Savoyard. Celui-ci (de son vrai nom Philippot) étoit le plus célèbre de tous, et il chantoit, en bouffonnant et en se faisant accompagner de jeunes garçons, tantôt des chansons burlesques de Gautier Garguille, tantôt des siennes propres, qu'on a recueillies dans un volume curieux. D'Assoucy, dans ses Aventures (p. 247 et suiv.), donne d'intéressants détails sur ce personnage. V. également Dict. de Bayle, édit., 1741, t. 2, p. 249 N.C. La muse du Pont-Neuf embouchoit aussi quelquefois la trompette pour célébrer

M. de Chateaubriand, en acceptant l'ambassade de Londres, avait délivré M. de Villèle de beaucoup de petites susceptibilités et d'embarras quotidiens; mais il ne se plut pas longtemps et ne pouvait guère se plaire dans sa nouvelle mission; il avait besoin de régner dans une coterie, et d'y vivre sans gêne en même temps qu'adoré. Il ne fit pas dans la société anglaise tout l'effet qu'il s'était promis; il lui fallait trop de succès et des succès trop divers; on l'y prenait pour un grand écrivain plutôt que pour un grand politique; on le trouvait plus roide que grave, et trop préoccupé de lui-même; on était curieux de lui, mais sans l'admirer selon son goût; il n'était pas constamment le premier objet de l'attention, et ne jouissait l

Ce principe, c'est ce qu'on appelle en ce moment le principe sacré, supérieur et absolu des nationalités. Les publicistes quotidiens de Paris et de Londres l'ont adopté avec l'enthousiasme des nouvelles découvertes et des généreux patriotismes; c'est un beau cri de guerre, mais est-ce un principe? Examinons de sang-froid.

Mais en même temps que, de par son succès, François devenait grand premier rôle, un soudain changement s'opéra chez lui. Grisé par ses triomphes quotidiens, il oublia son humble origine et par quelle série de privations son père avait passer pour atteindre

Il existe des idées qu'aucune catastrophe ne peut atteindre. Il suffit d'ordinaire qu'une idée s'élève au-dessus de la vanité, de l'indifférence et de l'égoïsme quotidiens pour que celui qui la nourrit ne soit plus aussi vulnérable. Et c'est pourquoi, qu'il y ait bonheur ou malheur, l'homme le plus heureux sera toujours celui dans lequel la plus grande idée vit avec la plus grande ardeur.

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