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Mis à jour: 24 mai 2025
Le pedant Hortensius aigrement repris de sa ridicule opinion, pour avoir appelle un livre sans dedicace Liber akephalos. Chapitre 6. Jugement des dedicaces railleuses et satyriques, comme de celles faites
Le même Ferdoussy, célèbre par son grand poëme historique, s'est aussi distingué parmi les satyriques persans. C'est par ordre de son roi Mahmoud, qu'il avait composé ce poëme; il y employa trente années, et il en attendait de grandes récompenses. Mais ce Mahmoud, surnommé le Gaznevide, grand roi, grand homme de guerre, le premier pour qui fut inventé le titre de sultan, était un homme sans goût et excessivement avare. Fils d'un esclave, il conservait des inclinations moins conformes
[Note 327: Les écrivains comiques et satyriques du temps, Sorel, Cyrano, Scarron, d'Assoucy, Boileau, Saint-Amant, Naudé dans le Mascurat, Tallemant, etc., etc., font souvent allusion aux chantres et poètes du Pont-Neuf, les hôtes quotidiens du Cheval de bronze. Dès le matin, on entendoit retentir les refrains, parmi les cris des marchands de libelles et de poésies, qui en étoient quelquefois les auteurs eux-mêmes. «Contraint par la nécessité, lit-on dans l'Histoire du poète Sibus (recueil en prose de Sercy, 2e v.), il alla encore sur le Pont-Neuf chanter quelques chansons qu'il avoit faites.» Maillet, le poète crotté, y heurtoit maître Guillaume, et le comte de Permission y coudoyoit le Savoyard. Celui-ci (de son vrai nom Philippot) étoit le plus célèbre de tous, et il chantoit, en bouffonnant et en se faisant accompagner de jeunes garçons, tantôt des chansons burlesques de Gautier Garguille, tantôt des siennes propres, qu'on a recueillies dans un volume curieux. D'Assoucy, dans ses Aventures (p. 247 et suiv.), donne d'intéressants détails sur ce personnage. V. également Dict. de Bayle, édit., 1741, t. 2, p. 249 N.C. La muse du Pont-Neuf embouchoit aussi quelquefois la trompette pour célébrer
Dès son arrivée en Espagne, Galba s'était fait une étude de la popularité. Jamais il ne s'était prêté aux violences des procurateurs, et, ne pouvant empêcher leurs exactions, il plaignait tout haut leurs victimes. Jamais il ne disait de mal de Néron, mais il laissait librement circuler des vers satyriques et des épigrammes outrageantes contre l'empereur. Tout ce qui l'entourait avait deviné ses projets, mais jamais il ne les avait confiés
[Note 16: Charles Nodier a apprécié sévèrement ce livre célèbre dans une notice Sur quelques livres satyriques et sur leur clef, notice égarée en 1834 dans un cahier du Bulletin du Bibliophile et que peu de personnes possèdent aujourd'hui: «Laclos a été le Pétrone d'une époque moins littéraire et plus dépravée que l'époque où vécut Pétrone. Puisque les Liaisons dangereuses passent encore pour un ouvrage remarquable dans quelques mauvais esprits, il faut bien en dire quelque chose, et je ne sais jusqu'
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