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Mis à jour: 22 juin 2025
La porte de la maison s'ouvrit, Henry de Puiseux le prit par la main et l'introduisit
Deux jours plus tard, Henry de Puiseux et Jean de Kardigân arrivaient au Havre. Le Wellington, corvette anglaise, allait les transporter au pays de Galles. C'était le soir. Une brume légère couvrait la rive. Le ciel, étincelant et constellé, rayonnait. Les deux Vendéens jetaient un regard navré
Et que nous verserons encore! dit Henry de Puiseux d'une voix forte. Je l'espère! répondit Jean de Kardigân.
La jeune fille, infatigable dans l'accomplissement de son devoir, devait être, ou auprès de de Puiseux et d'Aubin Ploguen, ou dans le petit hôpital des blessés des combats précédents. Il se rendit
Les onze ou douze cents hommes placés sous son commandement étaient divisés en dix bataillons de cent quinze hommes chacun environ; cinq bataillons avaient pour chef Henry de Puiseux; les cinq autres Jean-Nu-Pieds. A son tour, chaque bataillon formait quatre escouades de vingt-cinq
Aussitôt Madame se réfugiait dans une cachette particulière, qui mérite une description, étant devenue historique, et dont nous parlerons plus tard. Entrez, de Puiseux! dit Madame, quand on lui eut annoncé le jeune gentilhomme. La santé de Votre Altesse est-elle bonne aujourd'hui? Oh! ma santé est bonne, ce n'est pas cela qui m'inquiète! Pauvre princesse!
Nous savons que Jean de Kardigân et Henry de Puiseux attendaient, eux, avec leurs hommes, dans les bois de Machecoul. Le 26 au matin, un paysan, le front couvert d'un large et épais chapeau campagnard, se présenta aux avant-postes, derrière lesquels se tenait Madame. Il montra une passe signée du maréchal de Bourmont. Votre nom? demanda le factionnaire au paysan. Jean-Nu-Pieds.
Une femme chez moi, murmura-t-il. Faites entrer au salon, Couriol, reprit-il, en s'adressant au valet de chambre, et priez madame la baronne de m'excuser si je ne me rends pas immédiatement auprès d'elle. En cinq minutes, de Puiseux acheva de s'habiller, et il entra dans le salon où l'attendait l'inconnue. Il s'arrêta sur le seuil, ému et troublé.
Le geôlier les interrompit. Il annonçait une visite. Henry de Puiseux et Jean-Nu-Pieds devant quitter la France pour toujours, le comte d'Erlon les avait autorisés
Les chouans préparaient une bataille pour le lendemain, 6 juin. Or, Jean-Nu-Pieds et Henry de Puiseux devaient faire en sorte d'arriver
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