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Mis à jour: 25 juin 2025
Il avait su, par le maréchal Ney, que M. de Bourmont, lors des événemens de Besançon, avait montré de l'hésitation; et il ne s'était point soucié de l'employer. Mais M. de Bourmont, ayant donné sa parole d'honneur au général Gérard, de servir loyalement l'Empereur; et ce général, dont Napoléon faisait un grand cas, ayant répondu de Bourmont, l'Empereur consentit
«Depuis que la lettre de Saint-Pierre est écrite, et pendant que je la transcrivais, le gouvernement a acquis la certitude que la conspiration du 24 décembre et la machine infernale appartiennent aux chouans et non aux jacobins, comme il l'avait cru avec tout le public. M. de Bourmont, et tous les chouans amnistiés qui se trouvaient
Maurice de Carlepont avait bel et bien joué ce pauvre M. Jumelle, en lui disant que Madame et le maréchal de Bourmont étaient
Monsieur Berryer épuisait en vain sa rhétorique. Le maréchal Bourmont avait longtemps gardé un morne silence; il s'aventura enfin
On servit; on disputa encore un peu contre moi; on plaisanta beaucoup le prieur sur sa décision du chapelier, et le peu de cas qu'il faisait des prieurs et des chanoines. On lui proposa le cas du testament; au lieu de le résoudre, il nous raconta un fait qui lui était personnel. Vous vous rappelez l'énorme faillite du changeur Bourmont. Si je me rappelle! j'y étais pour quelque chose. Tant mieux!
Elle était entourée d'un groupe fort animé et plein d'entrain; plus loin, le maréchal Bourmont et quelques anciens vendéens portaient un visage soucieux. Après les premiers compliments, monsieur Berryer, ne souhaitant pas s'éterniser dans un séjour aussi compromettant, demanda une audience; on lui répondit qu'on l'entendrait en conseil.
Le Roi ne dit rien ni le dimanche, ni le lundi, ni le mardi; ces mêmes jours se passèrent sans que la lettre arrivât. Monsieur de Bourmont caressait toujours le maréchal, mais monsieur de Polignac, un peu moins faux, commençait
Le roi convint de tout cela et me fit une réponse obligeante, mais vague. Je sortis de chez lui moins satisfait que de chez M. le Dauphin. Cependant je ne pouvais pas mettre en comparaison le sentiment de l'un et de l'autre pour moi. Les jours s'écoulaient, et cette nomination, qui aurait dû précéder les autres, ne se faisait pas. Tout le travail s'expédiait, et, la nomination des agents principaux, dont le contact avec le général en chef est habituel, étant terminée, je crus y voir l'indication positive d'un choix arrêté en secret et se portant sur le général Bourmont. Je m'en ouvris
Il paraîtrait que le maréchal Bourmont, aiguillonné, au vif du sarcasme amer de la princesse, avait dit comme un autre Pylade: «Allons, seigneur, enlevons Hermione»; et s'était réuni aux conseillers imberbes de Marie-Caroline.
Je fus étonné, comme on le suppose, de cette explication, et la conclusion entre M. de Mackau et moi fut que M. de Bourmont, ni personne, hors moi, ne voulait de l'expédition. C'était un leurre, un aliment pour l'opinion publique, mais il n'y avait aucun projet réel.
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