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Mis à jour: 23 juin 2025
[Note 319: Ce nom de comédie s'appliquoit, même encore long-temps après Corneille, comme un terme générique, aux pièces de théâtre, sans en excepter les tragédies proprement dites. On le trouve en ce sens dans Mme de Sévigné: «Les comédies de Corneille, dit le P. Bouhours, ont un caractère romain et je ne sais quoi d'héroïque; les comédies de Racine ont quelque chose de fort touchant, etc.» Du reste, quoique Nicomède ait porté dès son origine le titre de tragédie, le ton général et le caractère de cette pièce, qui ne renferme pas de catastrophe tragique, sont plutôt d'une comédie héroïque que d'une tragédie: on sait, sans parler du rôle de Prusias, que celui du héros principal n'est autre chose que le caractère du railleur mis en scène. Aussi, quand on reprit Nicomède pour la première fois, après plus de quatre-vingts ans d'interruption, en 1756, les acteurs ne lui donnèrent d'abord que le titre de tragi-comédie. Du reste, Scarron se trouve ici d'accord, probablement sans s'en douter, pour le nom qu'il donne
Voltaire a osé dire de cette belle épître: «Elle paraît écrite entièrement dans le style de Régnier, sans grâce, sans finesse, sans élégance, sans imagination; mais on y voit de la facilité et de la naïveté.» Prusias, en parlant de son fils Nicomède que les victoires ont exalté, s'écrie: Il ne veut plus dépendre, et croit que ses conquêtes Au-dessus de son bras ne laissent point de têtes.
Je ne lui donne pas un an pour être réduit au point de son malheureux voisin, dont quelqu'un disait l'autre jour qu'il n'était plus le roi de Prusse, mais le roi Prusias. Viendra ensuite le tour du beau-père, que son indigne vente de chair humaine ne sauvera pas plus que les autres.
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