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Mis à jour: 7 juin 2025


Je l'ai trouvé dans ma chambre; le travail m'en plaît fort: avant qu'on le redemande, comme cela arrivera probablement, je voudrais en avoir le dessin: prenez-le, copiez-le, et laissez-moi pour le moment. BIANCA. Vous laisser, et pourquoi? CASSIO. J'attends ici le général, et je n'ai pas envie, car ce ne serait pas une recommandation pour moi, qu'il me trouve accosté d'une femme.

Eh bien, alors, prenez le GreatTrunk road, répondit l'ingénieur. Prenez-le, Hod, et allez

Nous ne pouvons nous dissimuler pourtant que nous sommes en tout ceci fort loin de Bérénice et de ses mélodieux ennuis. Nous sommes en plein dans l'amour antique, dans celui de Phèdre, mais d'une Phèdre sans remords, dans celui que Sapho a exprimé en son ode délirante, et qu'aussi le grand poëte Lucrèce a dépeint en effrayants caractères, tout comme il décrit ailleurs la peste et d'autres fléaux. Hélas dirai-je toute ma pensée? nous ne sommes pourtant pas si loin encore de l'amour moderne, toutes les fois que cet amour se rencontre (ce qui est rare) dans toute son énergie et sa franchise. La nature humaine est plutôt masquée que changée. Prenez Roméo, prenez-le au début de l'admirable drame: il s'était cru jusque-l

Lui apprendre tout: avoir l'argent beaucoup: avoir bonne religion catholique. Tout ça excellent. MADAME BONARD. Vous avez raison, Monsieur: je le sais, je le vois... Prenez-le, Monsieur, mais après la foire. M. GEORGEY. Bravo, Madme Bonarde, vous bonne créature: moi beaucoup remercier vous. viendrai jour de lendemain du foire. Adieu, bonsoir

M'entendez-vous? monsieur, je suis pressé.... Eh! mon prince, prenez-le pour rien, dit avec le tremblement d'une émotion indicible Bussy, qui venait de reconnaître le duc d'Anjou. En même temps on entendit le bruit sec d'un pistolet qu'armait le compagnon du prince. Arrêtez! cria le duc d'Anjou

L'INTERPRÈTE lit la note. «Quand il prodigue les serments, dites-lui de laisser tomber de l'or, et prenez-le. Dès qu'il porte en compte, il ne paye jamais le compte. Un marché bien fait est

«Songez qu'il faut que nous achevions nos jours ensemble. Je vous fais un triste présent que de vous donner le reste de ma vie; mais prenez-le, et, si j'ai perdu des jours, j'ai de quoi rendre meilleurs ceux qui seront tout pour vous. Je vous écrirai ce soir un petit mot de Fontainebleau, ensuite de Villeneuve, et puis de Dijon, et puis en passant la frontière, et puis de Lausanne, et puis du Simplon. Faites que je trouve quelques lignes de vous, poste restante,

Est-ce que ça a l'air d'une forge, ici? répliqua Orlick, en jetant un coup d'oeil méprisant autour de lui; maintenant prenez-le pour une forge si cela vous fait plaisirJe lui demandai depuis combien de temps il avait quitté la forge de Gargery.

Et ce n'est pas que je voie en vous un fantôme comme celui que j'ai porté en moi si longtemps. Je sais fort bien que vous êtes une femme, que vous avez aimé, que vous pouvez aimer encore... tout autre que moi? Eh bien! soit! j'accepte tout cela, et je n'ai pas besoin de comprendre les mystères de votre coeur et de votre vie pour vous adorer. Soyez tout ce que vous voudrez, abandonnez vos enfants, reniez Dieu, chassez-moi, aimez l'homme qui vous en semblera digne... Si Salvator vous plaît, s'il peut vous donner un instant de bonheur, écoutez-le, rendez-le heureux; j'en mourrai certainement, mais sans qu'une pensée de blâme puisse entrer dans mon esprit, sans qu'un sentiment de vengeance puisse approcher de mon coeur. Je mourrai en vous bénissant, en proclamant que vous avez le droit de faire tout ce qui est défendu aux autres, que ce qui est crime et reproche chez eux, est vertu et gloire chez vous. Tenez, je suis tellement malheureux en ce monde, et l'amour que je vous porte me ronge tellement les entrailles, que j'ai, en ce moment, un désir, un besoin effréné de mourir. Mais si vous voulez que je m'en aille demain, que je ne vous revoie jamais et que je vive, je vivrai et je serai content de vivre dans les tourments pour vous obéir. Vous croyez que j'ai aimé quelqu'un plus que vous? c'est faux! je n'ai jamais aimé personne. Je le sens maintenant, j'avais rêvé l'amour; car, comme vous l'a dit Salvator, il était dans mon cerveau, je ne l'avais pas senti dévorer mon coeur. C'était une femme pure, et je respecte tellement son souvenir, que je ne veux plus lui faire un mensonge en portant son image sur ma poitrine. Prenez-le, cachez-le, gardez-le, ce portrait que je ne comprends plus, et je vois toujours vos traits maintenant

Prenez-le vif! ordonna le chef! son supplice nous dédommagera de la perte que nous venons de faire.

Mot du Jour

bornait

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