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Mis à jour: 1 octobre 2025
Tout cela, confus, remonte en elle comme des gouttes de rosée. Un voile de larmes délicieuses la sépare du tableau qui angoisse. Elle oublie, parce qu'elle se souvient... Le passé d'amour, au gré du rêve, en lumineux souvenirs défile. L'ivresse de contempler au doigt la bague de fiançailles humble et si jolie, le ravissement de l'heure où le prêtre sanctifia leur long désir, le profond tressaillement du premier baiser ardent sur tout l'être du premier-né, la gaieté de certains jours de fête ou de chômage où l'on partait, François, la mère et les petits anges, vers les pelouses dont le frais sourire apaise, l'étreinte plus émouvante, plus sainte des jours de l'An, l'émerveillement d'un voyage qui les mena jusqu'en Gaspésie, chez un frère de Germaine,
«Si le premier oeuf pondu par l'industrieuse mère eût dû être le premier-né des Odynères, il aurait fallu que celui-ci, pour voir la lumière aussitôt après avoir acquis des ailes, eût la faculté ou de faire une brèche aux flancs de la double paroi de sa prison, ou de perforer de bout
C'est dans cette chapelle que Marie-Amélie de Sicile épousa Louis-Philippe d'Orléans. C'est encore dans cette chapelle que fut baptisé le premier-né de leur fils, le duc d'Orléans actuel. En versant l'eau sainte sur le front de l'enfant, l'archevêque dit tout haut: Peut-être qu'en ce moment je baptise un futur roi de France.
Et mon frère Karadeuk a-t-il du moins joui de cette vie paisible et fortunée, après tant d'aventures? Oui... jusqu'au jour de sa mort il a vécu heureux dans notre maison, auprès d'Odille et de moi... il a pu bénir mon premier-né... Quelle a été la cause de la mort de mon frère? Vous avez vu, Kervan, dans ces récits, quel homme était ce Chram, fils du roi Clotaire?
Ces enfants deviennent des hommes; et alors il se trouve que ce sont des esprits. L'un, le premier-né, est un esprit alerte et vigoureux; l'autre, le second, est un esprit aimable et grave. La lutte du progrès veut des intelligences de deux sortes, les fortes et les douces: le premier ressemble plus
Transmise de mère en mère dans notre famille, et qui est comme le privilége du premier-né. Mon fils avait trois ans quand je la lui appris... S'il ne l'a point oubliée, s'il peut seulement en répéter quelques mots, le doute est impossible; car lui et moi sommes seuls
Mais si Luynes n'y perdit pas son crédit, et y gagna au contraire le titre de connétable, il y perdit au moins sa peine, ou n'en fut récompensé que tardivement. Ce dauphin qui devait concourir pour le prix de vitesse avec le premier-né de la duchesse de Savoie ne vit le jour, si ardemment réclamé qu'il fût, que dix-neuf ans après, c'est-
En 1868, l'homme exilé fut frappé deux fois; il perdit coup sur coup sa femme et son petit-fils, le premier-né de son fils Charles. L'enfant mourut en mars et Mme Victor Hugo en août. Victor Hugo put garder l'enfant près de lui; on l'enterra dans la terre d'exil; mais Mme Victor Hugo rentra en France. La mère avait exprimé le voeu de dormir près de sa fille; on l'enterra au cimetière de Villequier. Le proscrit ne put suivre la morte. De loin, et debout sur la frontière, il vit le cercueil disparaître
L'effet fut prodigieux. Nul n'ignorait que le fils premier-né de l'Empereur devait s'appeler le roi de Rome. D'autre part, la maison d'Autriche avait revendiqué jusqu'au lendemain d'Austerlitz, comme une distinction purement honorifique, mais conservée avec un soin jaloux, la couronne des Romains. Par cette reconnaissance anticipée d'un titre qui lui avait été ravi, elle semblait légitimer l'usurpation, abdiquer en faveur du nouvel empire ses plus insignes prérogatives et l'établir dans ses droits. Cet acte d'audacieuse déférence retentit par toute l'Europe; les Russes particulièrement en furent indignés et effrayés; ils y virent une fois de plus le témoignage que l'Autriche s'était donnée sans réserve. L'un d'eux écrivait de Vienne, en parlant de Metternich: «Le ministre qui, en faisant le mariage, a pu s'écrier: «La monarchie est sauvée», qui, au déjeuner chez M. Regnaud de Saint-Jean d'Angély,
Ils défendaient l'honneur et le droit, ces chimères. Venez, reconnaissez vos enfants, venez, mères! Car, pour qui l'allaita, l'homme est toujours l'enfant. Tenez; ce front hagard, qu'une balle ouvre et fend, C'est l'humble tête blonde où jadis, pauvre femme, Tu voyais rayonner l'aurore et poindre l'âme; Ces lèvres, dont l'écume a souillé le gazon, O nourrice, après toi bégayaient ta chanson; Cette main froide, auprès de ces paupières closes, Fit jaillir ton lait sous ses petits doigts roses; Voici le premier-né, voici le dernier-né. O d'espérance éteinte amas infortuné! Pleurs profonds! ils vivaient; ils réclamaient leur Tibre; Être jeune n'est pas complet sans être libre; Ils voulaient voir leur aigle immense s'envoler; Ils voulaient affranchir, réparer, consoler; Chacun portait en soi, pieuse idolâtrie, Le total des affronts soufferts par la patrie, Ils savaient tout compter, tout, hors les ennemis. Hélas! vous voil
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