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Mis à jour: 29 juin 2025
Ah! sur cette belle route tarasconnaise, toute blanche et craquante de poussière, sans autre ombrage que les poteaux et les fils télégraphiques, sur cette voie triomphale où, tant de fois, il avait passé
»Aussitôt que le travail des commissaires sera terminé, il sera dressé des cartes signées par les commissaires respectifs, et placé des poteaux qui constateront les limites réciproques.
A quarante verstes du Tioumen* [*Tioumen, on Tiumen, est la première ville de la Sibérie en entrant dans le gouvernement de Tobolsk du côté de la Russie européenne. On l'appelait anciennement Ouzigidin.], on passe dans un bois où des poteaux indiquent la fin du gouvernement de Tobolsk: Elisabeth les remarqua; elle quittait la terre de l'exil, il lui sembla qu'elle quittait sa patrie, et qu'elle se séparait une seconde fois de ses parents. "Ah! dit-elle, que me voil
Les poteaux et les bornes militaires ne me disent rien, vous comprenez, je ne vous en suis que plus obligé de me procurer une chaise pour me reposer, et un verre d'eau pour me rafraîchir.»
La berloque était donc assez triste comme nous l'avons dit, lorsque Antonio, qui s'était glissé, sans être vu, jusque derrière un des poteaux qui soutiennent le hangar, allongea sa tête jaune et bilieuse, et poussa un petit sifflement pareil
Une gaze de brume estompe Arbres, maisons, plaines, coteaux, Et l'oeil au carrefour qui trompe En vain consulte les poteaux. J'avance parmi les décombres De tout un monde enseveli, Dans le mystère des pénombres, A travers des limbes d'oubli. Mais voici, blanche et diaphane, La Mémoire, au bord du chemin, Qui me remet, comme Ariane, Son peloton de fil en main.
Dans le chaos de ses premiers souvenirs se détache celui d'un voyage en Italie. Elle y vit étalés aux poteaux du chemin les têtes et les bras des brigands dont les Français avaient purgé le pays: Ses yeux prirent dès lors un air d'étonnement; Son visage romain rêva plus gravement; Et quand on atteignit Naples la fortunée, Où son père attendait notre Adèle étonnée, Dès qu'on fut de voiture au logis descendu, Elle, distraite encor, le regard suspendu, Déj
Le soir, l'eau était brûlante. Les grands soleils chauffaient l'eau des trous, au point qu'il fallait la laisser refroidir, dans les premières fraîcheurs du crépuscule. Nous restions nus sur le sable, pendant des heures, luttant, jetant des pierres aux poteaux, prenant des grenouilles avec les mains, dans la vase. La nuit tombait, un immense soupir, un soupir de soulagement passait sur les arbres.
A la suite du wapentake, défilèrent, débouchant de dessous le guichet, en ordre, deux par deux, avec la rigidité d'une série de poteaux qui marcheraient, des hommes silencieux. Ce cortége nocturne franchissait la porte basse couple par couple, comme les bini d'une procession de pénitents, sans solution de continuité, avec un soin lugubre de ne faire aucun bruit, gravement, presque doucement.
C'est ainsi que se baignent presque toutes ces dames. Galamment, le maire avait fait planter deux poteaux, tendre des cordes «pour faciliter leurs ébats natatoires», disait-il. Elles eurent peur, non de l'eau, mais de ces cordes, qui se tordaient comme des serpents dans leurs jambes. En outre, elles prétendaient qu'on apprend mieux
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