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Mis à jour: 3 octobre 2025


Philologues et Grammairiens célèbres du quinzième siècle; Guarino de Vérone, Jean Aurispa, Ambrogio Traversari, Leonardo Bruni d'Arezzo, Gasparino Barzizza, Poggio Bracciolini, Filelfo, Laurent Valla; etc.

VI, part. Poggio Bracciolini, connu en France sous le nom de Pogge, et qui ne l'est guère que comme auteur d'un recueil de bons mots et de facéties licencieuses, est un personnage très-grave, d'une grande autorité dans les lettres, et l'un de ceux qui leur rendirent

[Note 486: C'est dans sa seconde Invective que Poggio accuse Valla d'avoir commis un faux

Voy. Lanzi, t. C'est au milieu de ces hommes illustres, et dans la société d'un petit nombre d'amis voués au culte des lettres et des arts, tels que Ottavio Casali, Achille Poggio, le marquis Facchinetto, les comtes Malveim et Caprara, le chanoine Bartolomeo Dolcini, le savant prélat Gio, Bat. Agucchi, que don Ferrante Carlo passait sa vie lorsqu'il pouvait venir

Il n'en fut pas ainsi de la guerre qui s'alluma entre Valla et Poggio. Le hasard ayant fait tomber entre les mains de ce dernier une copie de ses lettres, il y aperçut

Durant les belles nuits claires, ils se rendaient sur une des collines qui enserrent Florence, Poggio al Pino, parmi les genévriers et les pins une guérite en bois servait d'observatoire au grand astronome. L

Rer. ital., vol. Encouragé par ses illustres amis, Leonardo Bruni, Ambrogio Traversari, Niccolo Niccoli, Francesco Barbaro, noble vénitien, l'un des plus zélés promoteurs de tout ce qui pouvait être avantageux aux lettres, Poggio continua de voyager en Allemagne et en France, recherchant les anciens manuscrits dans les réduits secrets des couvents de ces deux contrées. Dans l'un de ces voyages, il découvrit

L'Histoire de Florence est le dernier, comme le plus grand et le meilleur ouvrage de Poggio. Elle est divisée en huit livres, et comprend la portion la plus intéressante des annales de la liberté florentine; elle s'étend depuis 1350 jusqu'

Quelques circonstances augmentèrent encore ce désir. On venait de retrouver en Italie divers ouvrages de Cicéron, dont plusieurs, tels que les trois livres de Oratore, le Brutus, ou le Livre des Orateurs célèbres, et celui qui est intitulé Orator, reparaissaient pour la première fois. C'était Gérard Landriani, évêque de Lodi, qui en avait découvert le manuscrit enseveli sous un tas de décombres. Le caractère était si ancien, que peu d'antiquaires étaient en état de le déchiffrer; mais le zèle vainquit toutes les difficultés. Bientôt ces traités furent lus, copiés et répandus dans toute l'Italie. C'était un vrai triomphe, un sujet d'allégresse publique. Poggio, dans une terre d'exil, instruit de cette découverte, attendait avec impatience que ses amis lui en fissent parvenir une copie. Dans le même temps, il eut la douleur d'apprendre la querelle qui s'était élevée entre Leonardo Bruni et Niccolo Niccoli, deux de ceux qu'il aimait le plus. Enfin, comme si ce n'était pas assez des chagrins qui lui venaient d'Italie, il vit toutes les promesses et les apparences de la fortune qui l'avaient attiré en Angleterre, aboutir

Il laissa une grande quantité d'écrits de tout genre, les uns finis, les autres imparfaits, et dont plusieurs sont inédits, et le seront peut-être toujours. Les principaux ouvrages imprimés sont des traductions latines de la Rhétorique d'Aristote, de deux Traités d'Hippocrate, de plusieurs Vies de Plutarque, de ses Apophtegmes, de la Cyropédie de Xénophon, et deux Harangues de Lysias; ce sont des traités philosophiques, tels que ses Convivia Mediolanensia, ou Banquet de Milan, dialogues faits, comme ceux de Poggio, sur le modèle du Banquet de Platon, l'auteur introduit plusieurs de ses savants amis, discutant

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