Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 12 juillet 2025
Rer. ital., vol. Encouragé par ses illustres amis, Leonardo Bruni, Ambrogio Traversari, Niccolo Niccoli, Francesco Barbaro, noble vénitien, l'un des plus zélés promoteurs de tout ce qui pouvait être avantageux aux lettres, Poggio continua de voyager en Allemagne et en France, recherchant les anciens manuscrits dans les réduits secrets des couvents de ces deux contrées. Dans l'un de ces voyages, il découvrit
Quelques circonstances augmentèrent encore ce désir. On venait de retrouver en Italie divers ouvrages de Cicéron, dont plusieurs, tels que les trois livres de Oratore, le Brutus, ou le Livre des Orateurs célèbres, et celui qui est intitulé Orator, reparaissaient pour la première fois. C'était Gérard Landriani, évêque de Lodi, qui en avait découvert le manuscrit enseveli sous un tas de décombres. Le caractère était si ancien, que peu d'antiquaires étaient en état de le déchiffrer; mais le zèle vainquit toutes les difficultés. Bientôt ces traités furent lus, copiés et répandus dans toute l'Italie. C'était un vrai triomphe, un sujet d'allégresse publique. Poggio, dans une terre d'exil, instruit de cette découverte, attendait avec impatience que ses amis lui en fissent parvenir une copie. Dans le même temps, il eut la douleur d'apprendre la querelle qui s'était élevée entre Leonardo Bruni et Niccolo Niccoli, deux de ceux qu'il aimait le plus. Enfin, comme si ce n'était pas assez des chagrins qui lui venaient d'Italie, il vit toutes les promesses et les apparences de la fortune qui l'avaient attiré en Angleterre, aboutir
Leonardo et lui étaient liés de l'amitié la plus intime: une aventure scandaleuse les brouilla. Niccolo Niccoli avait cinq frères; il enleva publiquement
Un autre citoyen de Florence, Niccolo Niccoli, faisait
Mot du Jour
D'autres à la Recherche