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Mis à jour: 7 juin 2025
Philologues et Grammairiens célèbres du quinzième siècle; Guarino de Vérone, Jean Aurispa, Ambrogio Traversari, Leonardo Bruni d'Arezzo, Gasparino Barzizza, Poggio Bracciolini, Filelfo, Laurent Valla; etc.
Il n'y eut peut-être jamais de plus grands rapports entre deux hommes qui courent la même carrière que ceux qu'on remarque entre Guarino de Vérone et Jean Aurispa . Leur longue vie, le genre de leurs travaux, les vicissitudes qu'ils éprouvèrent ont une ressemblance frappante. Tous deux nés presque en même temps, tous deux professeurs de la même science et presque dans les mêmes villes, tous deux d'une ardeur infatigable pour la recherche des anciens manuscrits, Aurispa, pour dernier trait de sympathie, passa comme Guarino
Guarino de Vérone, première tige d'une famille héréditairement illustre dans les lettres, fut l'un des élèves les plus célèbres de ces deux maîtres. Il était né en 1370,
Il y a peu de proportion entre ces travaux de Guarino et l'immense réputation dont il a joui dans son siècle, et même dans les âges suivants; mais le grand bien qu'il fit aux lettres, et qui justifie cette renommée, fut dans le nombre presque infini de disciples qu'il forma pendant sa longue carrière, et auxquels il inspira le goût des bonnes études et de la littérature ancienne. C'est surtout comme l'un des plus zélés restaurateurs de cette littérature et de ces études qu'il mérite les grands éloges que lui donnèrent plusieurs écrivains de son temps. Une des qualités qu'ils louent le plus en lui, est l'activité prodigieuse qu'il conserva jusque dans ses dernières années. «Deux choses, dit l'un d'eux , décorent la vieillesse de notre Guarino, qui a décoré l'Italie entière en y ranimant l'étude des belles-lettres; c'est une mémoire incroyable et une infatigable application
Les Universités, théâtres bruyants et souvent orageux, des combats et des triomphes scholastiques, n'éprouvèrent pas, dans le cours de cette période, les mêmes vicissitudes que dans les précédentes, excepté peut-être celle de Bologne ; vers le commencement du siècle, elle joignit aux autres facultés, des chaires d'éloquence grecque et latine, et eut pour professeurs Guarino de Vérone, Jean Aurispa, et Filelfo. Elle parut alors reprendre son ancien éclat, mais des troubles s'élevèrent. Bologne secoua le joug des papes et le reprit ; l'Université se dépeupla, et quand la paix fut rétablie, l'auteur d'une chronique du temps crut annoncer de belles espérances, en disant que le nombre des écoliers s'élèverait bientôt
Ses Commentaires sur l'histoire de son temps furent continués par Jacopo degli Ammanati, qu'il avait fait cardinal, et qui lui devait bien ce témoignage de reconnaissance. Il était né dans le territoire de Lucques, avait fait d'excellentes études sous Charles et Léonard d'Arezzo, sous Guarino de Vérone, et Gianozzo Manetti. S'étant rendu
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