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Ses Commentaires sur l'histoire de son temps furent continués par Jacopo degli Ammanati, qu'il avait fait cardinal, et qui lui devait bien ce témoignage de reconnaissance. Il était dans le territoire de Lucques, avait fait d'excellentes études sous Charles et Léonard d'Arezzo, sous Guarino de Vérone, et Gianozzo Manetti. S'étant rendu

[Note 42: «Qui (in Roma) è il fonte degli uomini dottiLettre

Les principaux monuments de la domination normande sont: le pont de l'Amiral jeté sur l'Oreto par l'amiral Georges d'Antioche, l'église de la Maggione, construite par le chancelier Matteo de Salerne, l'église de San Giovanni degli Eremiti, fondée par le comte Roger, celles de San Cataldo, de San Salvadore, de San Giovanni dei Leprosi, la cathédrale, le palais royal et l'église de la Martorana.

[Note 107: Voyez la cinquième journée, nouvelle VIII, du Décaméron. Nastagio degli Onesti, amant de l'une des filles de Paolo Traversaro, avait dépensé toutes ses richesses sans parvenir

Un poëte de ce temps, qui eut encore plus de renommée, ce fut Guido Cavalcanti. Sa famille était une des plus illustres et des plus puissantes de Florence. Guido fut un ardent Gibelin, et devint plus ardent encore en épousant la fille de Farinata degli Uberti, alors chef de cette faction. Corso Donati, chef du parti des Guelfes, homme alors fort en crédit en Florence, et personnellement ennemi de Guido, voulut le faire assassiner. Guido l'ayant su, l'attaqua

C'est cette maison, qui était un palais en comparaison de sa chétive voisine, qui fut appelée du nom de ses fondateurs: Casa Inglese, ou Casa degli Inglesi.

Il y avait alors dans le palais degli Ufficii une petite salle appelée la Tribuna, dans laquelle se trouvaient les statues antiques: la Vénus de Médicis, l'Apolline, le Faune dansant, les Lutteurs et l'

[Note 259: Il compare dans un de ses dialogues (il Cataneo ovvero degli idoli, t. III de ses

Le petit cloître de l'église San Giovanni degli Eremiti, une des plus anciennes églises normandes de caractère oriental, bien que moins remarquable que celui de Monreale, est encore bien supérieur

XV, Nouv. VIII, Nouv. XIII, Nouv. Mais ces deux recueils de Nouvelles nous ont distraits assez long-temps de la poésie; il est temps d'y revenir. En parlant des poëtes qui florissaient avant Pétrarque dans le quatorzième siècle, j'ai fait une mention particulière de Fazio degli Uberti . Je ne l'ai considéré alors que comme poëte lyrique, et j'ai remis