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Mis à jour: 22 juin 2025
Ceci nous ramène au culte des morts. Tous les deux sont de la même antiquité. Ils étaient associés si étroitement que la croyance des anciens n'en faisait qu'une religion. Foyer, Démons, Héros, dieux Lares, tout cela était confondu. On voit par deux passages de Plaute et de Columèle que dans le langage ordinaire on disait indifféremment foyer ou Lare domestique, et l'on voit encore par Cicéron que l'on ne distinguait pas le foyer des Pénates, ni les Pénates des dieux Lares. Nous lisons dans Servius: « Par foyers les anciens entendaient les dieux Lares; aussi Virgile a-t-il pu mettre indifféremment, tantôt foyer pour Pénates, tantôt Pénates pour foyer. » Dans un passage fameux de l'
On pourrait faire la généalogie de presque tous les grands esprits qui ont acquis de la célébrité, comme on fait celle de tous les personnages de grand nom. Il n'y a pas un homme illustre depuis deux siècles dans les sciences ou dans les lettres, dont les ouvrages ne procèdent du talent ou du savoir d'un prédécesseur et dont on ne puisse faire la filiation, soit d'après ses aveux, soit d'après les rapprochemens de ses ouvrages avec ceux du même genre qui ont été publiés avant lui. Boileau descend d'Horace, Racine de Virgile, Molière de Plaute d'un côté, de Térence de l'autre; La Fontaine d'un côté de l'Arioste et de Bocace, de l'autre de Phèdre qui descend d'
Selon Malone, cette comédie aurait été écrite en 1593; et selon Chalmers, en 159l. La traduction anglaise des Ménechmes de Plaute, par W. Warner, ne fut imprimée qu'en 1595; mais dans Hall et Hollingshed il est fait mention d'une jolie comédie de Plaute, qu'on dit avoir été jouée dès l'an 1520, et quelques-uns prétendent que c'étaient les Ménechmes.
Les dames et les cavaliers se disposèrent selon leur gré, devant un petit théâtre. On joua un acte du Miles gloriosus de Plaute. Les vers latins ennuyaient, bien que les auditeurs, par respect pour l'antiquité, feignissent de s'y intéresser.
APOLOGIE de Saluste du Bartas et d'autres poëtes anciens qui ont essayé de mettre en vogue les mots composez; où il est monstré que les François, en cette occasion, n'ont esté que des pagnottes , en comparaison des Grecs et des Romains, par l'exemple d'Aristophane, de Plaute, et d'autres autheurs. V. la Comédie des Proverbes, act.
Un superbe Plaute imprimé
Dans toutes les comédies de Plaute et de Térence, imitées ou non des poètes comiques grecs, on retrouve toujours un personnage indispensable, le marchand d'esclaves, le leno. Ces poètes sont très durs pour ces misérables voleurs et vendeurs d'esclaves; ils en parlaient du reste en connaissance de cause, Plaute était esclave, et Térence avait été enlevé par des pirates. Il n'est pas étonnant dès lors de trouver dans leurs oeuvres une science profonde des ruses et des spéculations du leno, des misères et des moeurs de l'esclave. Dans Plaute surtout, le caractère des esclaves, leurs fourberies, et aussi leurs souffrances, sont reproduites avec une vérité et une énergie admirables. A l'époque où les poètes comiques grecs et latins mettaient sur la scène des marchands d'esclaves, c'était, je l'ai déj
Rhinton, de Tarente, dans ses hilaro-tragédies, ne respecte pas mieux les dieux. Et Plaute, qui suivit les errements de ce poëte, fut accusé,
Le mois de may est dit majus, en l'honneur de la dite Maja du temps des Romains, ainsi que dit Ovide au cinquième livre des Fastes; Mercure était le dieu des marchands comme se voit au prologue de la comédie de Plaute, Amphytrion. Et on voit encore aujourd'huy que cette foire est
Il y a mieux. La dot est-elle une si grande coupable? Je sais bien qu'il est de bon ton de l'attaquer au nom du pur amour; je sais encore qu'elle rend trop rares les mariages d'inclination et trop fréquents les mariages d'argent, au détriment de l'idéalisme sentimental cher aux âmes tendres qui voudraient unir les plus dignes aux plus belles. Mais, sans rappeler que la dot permet quelquefois aux laides de se relever de leur disgrâce imméritée, on ne réfléchit pas assez qu'elle a plus fait que toutes les lois d'émancipation pour la dignité, pour la liberté, pour l'autorité de la femme mariée. L'homme qui accepte une dot en se mariant aliène une part de sa puissance. Comptable des deniers de sa femme, il a les mains liées. Dans une de ses comédies, Plaute prête
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