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Mis à jour: 5 mai 2025
Ce n'est pas dans son Catéchisme intitulé: Instruction du chrétien, que le cardinal commit la singulière erreur que Tallemant signale ici. C'est dans les Principaux points de la Foi catholique, défendus contre l'écrit adressé au Roi par les ministres de Charenton; Poitiers, 1617, in-8º. Il y traduit Terentianus Maurus, qui est le nom d'un grammairien, par le Maure de Térence, croyant que cet auteur avoit laissé une pièce de ce titre dont il étoit question dans le passage qu'il avoit
Ton esclave boite, il est vieux, il halète, Mes escaliers sont durs et mon logis lointain Ne demeures-tu pas auprès du Palatin? Atrectus, mon libraire, habite l'Argilète. Sa boutique est au coin du Forum. Il y vend Les volumes des morts et celui du vivant, Virgile et Silius, Pline, Térence ou Phèdre;
Le théâtre des anciens, Plutarque, les lettres de Cicéron, celles de Pline, la chronique de Suétone, ne nous en donnent aucune idée. A juger d'Athènes par les comédies d'Aristophane, ou par les fragments de celles de Ménandre, qui nous ont été conservés dans les heureuses imitations de Térence, on voit que les femmes vivaient dans une retraite absolue. Les intrigues d'amour ne roulent que sur des courtisanes ou sur des jeunes filles enlevées
Dans les Adelphes de Térence, Sannion paie d'impudence: «Marchand d'esclaves, c'est vrai, je l'avoue; je suis la ruine des jeunes gens, un voleur, un fléau public », et le poète nous fait voir ce leno se dirigeant avec une riche cargaison de femmes et d'opulentes marchandises vers l'île de Cypre, consacrée
Et maître Térence se mit
Et presque tout de suite après, sentant bien qu'au point de vue du pur christianisme, c'est Port-Royal qui a raison, il laisse la question doctrinale et, en parfait journaliste, prend brusquement l'offensive: De quoi vous êtes-vous avisés de mettre en français les comédies de Térence? Fallait-il interrompre vos saintes occupations pour devenir des traducteurs de comédies? Encore si vous nous les aviez données avec leurs grâces, le public vous serait obligé de la peine que vous avez prise. Vous direz peut-être que vous en avez retranché quelques libertés: mais vous dites aussi que le soin qu'on prend de couvrir les passions d'un voile d'honnêteté ne sert qu'
Il se distingua tellement par ses bonnes moeurs et ses talens, que le recteur et le conseil de l'Université de Wittemberg, crurent devoir, en 1733, lui rendre un hommage public par une épître de félicitation; ils rappellent que Térence aussi étoit d'Afrique; que beaucoup de martyrs, de docteurs, de pères de l'église, sont nés dans ce même pays où les lettres étoient florissantes, et qui, en perdant le christianisme, est retombé dans la barbarie.
A ce mot: le diable m'emporte, il eût fallu voir la joie du petit vieillard; ses yeux brillèrent comme braise, sa bouche se fendit jusqu'aux oreilles, et l'on entendit derrière lui quelque chose qui allait et venait en balayant le plancher. Ce que j'attends, dit-il, ce que j'attends? Oui, reprit Térence. Eh bien, j'attends mes culottes. Comment, vos culottes? Sans doute.
Ses vénérables maîtres estimaient peu la littérature en elle-même. Pour leur compte, ils ne visaient pas au talent. Ils jugeaient que ce qu'il convient d'étudier chez les anciens et de leur emprunter, c'est simplement l'art d'exprimer clairement et exactement sa pensée, afin qu'elle soit plus efficace. Mais comment pouvaient-ils croire qu'un enfant tendre, intelligent et passionné ne chercherait que cela dans Homère, Sophocle, Euripide, Térence, Virgile? Est-ce par ces lectures qu'ils pensaient le détourner de la poésie, ou le munir d'avance contre les passions? Ces saints hommes goûtaient trop les belles-lettres. Ils n'étaient pas parfaitement conséquents avec eux-mêmes, et je les en aime davantage. Il est bien probable, d'ailleurs, que les religieuses, et sa tante la mère Agnès de Saint-Thècle, et sa grand'mère Marie Desmoulins, avaient été touchées des strophes où l'enfant les comparait
Ces lettres d'Uzès, très jolies dans leur léger apprêt, semées de citations de l'Arioste et du Tasse, et aussi de Virgile, de Térence et de Cicéron, que Racine transcrit tous par cœur, ces lettres du printemps d'un poète de génie nous montrent un jeune homme d'une sensibilité très vive et d'un esprit très net, inquiet des femmes et de l'amour, amoureux de la vie et de la gloire, et qui, parmi ses inquiétudes et ses frissons, poursuit son dessein et travaille prodigieusement.
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