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Comment, malheureux! tu plaisantes! tu oses plaisanter avec les choses sérieuses! Mais tu n'as donc de respect pour rien? Tu te moques donc de tout? Tu n'as donc plus ni âme, ni coeur, ni conscience, ni... rien?... Ah! cette manie de dénigrement! Le mal du siècle! Cette manie de raisonner envers et contre tout!... Ah! elle te coûtera cher, cette manie-l

Ce journal parut chaque lundi, depuis le 1er novembre 1819 jusqu'au 20 mars 1820. Il rapportait tous les incidents de l'hivernage, les chasses, les faits divers, les accidents de météorologie, la température; il renfermait des chroniques plus ou moins plaisantes; certes, il ne fallait pas chercher l

Une série d'aventures moitié plaisantes, moitié sérieuses, toutes féeriques, poursuivent la belle Angélique obsédée par une foule de chevaliers de chant en chant; Renaud, Bradamante, Roger, Pinabel, et vingt autres guerriers ou guerrières apparaissent, disparaissent, combattent, adorent, s'évanouissent pour reparaître encore comme des fantômes de l'imagination dans une nuit semée de feux follets, mais tous dans des aventures pittoresques décrites en vers, tantôt épiques, tantôt comiques, qui embarrassent quelquefois la mémoire du lecteur, sans lasser sa curiosité et son admiration.

Mais en 1826, en pleine Restauration, sans nécessité, il me semble, et même au risque de troubler des âmes en faisant connaître davantage un livre qu'il réprouvait, il donne lui-même une réédition de l'Essai sur les Révolutions. Il y met une habile préface il explique dans quelles conditions l'ouvrage a été écrit, il en montre les contradictions et il exagère quelque peu ce qui s'y trouve encore de christianisme. Il accompagne le texte de notes très nombreuses et fort plaisantes. Il se critique, se réfute, se condamne, se gourmande et se raille avec beaucoup de bonne grâce et un air de charmante franchise. Il a, sur sa vanité et sa fatuité de jeune homme, des réflexions piquantes (qui d'ailleurs s'appliqueraient encore mieux

M. d'Aumont, fils du maréchal d'Aumont, du temps d'Henri IV, gouverneur de Bologne-sur-Mer, et chevalier de l'Ordre, en son jeune temps, fut une vraie peste de cour. Il a eu les plus plaisantes visions du monde. Il disoit de madame de Beaumarchais , belle-mère du maréchal de Vitry, et femme de ce trésorier de l'Epargne que la Reine-mère fit tant persécuter,

Je viens tâcher d'obtenir du service dans l'armée qui marche sur Naples. Tu plaisantes! toi, te faire soldat, au sortir de l'école de droit? Je t'assure, Minuccio, que je ne plaisante pas. MINUCCIO,

Tu plaisantes: je t'entraînerai vers mes couvertures. A quoi bon achèterions-nous des crochets, quand nous pouvons faire descendre cette vieille pour tirer les seaux du puits? Ne te moque pas de moi, mon cher, mais suis-moi jusque chez moi. Je n'en vois pas la nécessité,

Si je suis fils de roi, il est, lui, le roi des idées plaisantes... vite, vite, des chiens! plus ils seront mordants et féroces, plus le divertissement sera complet. Oui, oui, crièrent les Franks avec des trépignements joyeux, les chiens... les chiens... Eh! mon veneur Gondulf! vite, mon veneur Gondulf!... Seigneur comte, me voici...

ROSALINE. J'avais souvent ouï parler de vous, seigneur Biron, avant que j'eusse eu l'avantage de vous voir, et la vaste langue de l'univers vous peignait comme un homme fécond en railleries, en comparaisons plaisantes, en sarcasmes mordants que vous lancez sur toutes les conditions qui se trouvent exposées

Mon bon, laisse-moi monodier seul; fais-moi plaisir: finis. Finis. Va aux corbeaux! Va aux corbeaux! La peste! La peste! Chansons! Chansons! Tu plaisantes! Tu plaisantes! Gémis. Gémis. Pleure. Pleure. ! l'homme! Tu bavardes. ! l'homme! Tu bavardes. J'appellerai les Prytanes. J'appellerai les Prytanes. Chose étrange! Chose étrange! D'où cette voix? D'où cette voix? Toi parler? Toi parler?